Virginia Woolf et James Joyce en nouvelle traduction sur publie.net
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portrait de James Joyce en jeune homme numérique
30 décembre 2012, par François Bon -
lire de l’epub sur son Kindle Fire
30 décembre 2012, par François Bonou comment adapter la tablette à tout faire d’Amazon pour d’autres livres que ceux du Kindle Store
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[60] toujours c’est le vaincu qui m’avait paru le plus beau
29 décembre 2012, par François Bonpour celles et ceux qui ne croiraient pas que Proust a connu Baudelaire
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[59] les modernes années n’apportent point de changement à la cité gothique
29 décembre 2012, par François BonUn des questionnements qui peuvent nous hanter en permanence, c’est la légitimité même de la question du grand écrivain. À imaginer qu’on puisse le définir selon des catégories établies avec sûreté, reproductibilité, et susceptibles d’être collectivement admises, peu probable qu’on puisse y insérer Marcel Proust : beaucoup trop atypique pour n’importe quelle catégorie qu’on prétendrait lui assigner en commun avec n’importe lequel de son époque.
Pourtant, si c’est l’oeuvre elle-même qui (...) -
[58] ce Marcel Proust, un être qui vivrait tout à fait dans l’enthousiasme
29 décembre 2012, par François BonOn dit que dans l’écriture d’une pièce de théâtre ce moment des deux tiers est le plus difficile. Je n’aurais pas pensé être en mesure d’écrire cent billets successifs sur Marcel Proust. Il y a évidemment des doutes et des effondrements : une partie de la mécanique de la Recherche se révèle, avec ses craquements, et aussi le terrible ricanement de celui qui avait bien prévu qu’on viendrait voir à cet endroit, et vous prouve qu’il avait anticipé le dévoilement. Et puis qu’une oeuvre (...)
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le Kindle Fire au lit
28 décembre 2012, par François BonKindle Fire : avantages et comparaisons concernant la nouvelle tablette d’Amazon
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[56] toute une vie secrète, invisible, surabondante et morale
27 décembre 2012, par François Bonpour celles et ceux qui ne croiraient pas que Proust a connu Baudelaire
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fascination pour la ville engloutie (poème)
25 décembre 2012, par François Bonon y perdait le jour, on y gagnait un grand calme
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[hors série] lettre de Marcel Proust à Philippe Soupault du 6 septembre 1920
25 décembre 2012, par François BonMonsieur,
Vous allez voir que je n’ai pas de chance. Jamais je n’étais allé (peut-être une fois jadis) quai Bourbon. Mon ami Valentinois y demeurait mais je le laissais conduire dans le ramener moi-même. Enfin Dimanche c’est-à-dire la veille du jour où j’ai eu votre lettre j’y suis allé chez le Prince Bibesco et la jeune Asquith. J’ai passé quatre fois devant le 41 (Elle demeure au 45 !). Je suis rentré. J’ai en en rentrant une crise terrible et quand dans la matinée j’ai pu sonner, (...) -
[54] comme les premiers ou les derniers accords d’une fête inconnue
25 décembre 2012, par François BonSi c’est Philippe Soupault qui les fait connaître à leur définitive échelle, préfaçant en 1946 Les chants de Maldoror par une biographie succincte (mais on en savait si peu) d’Isidore Ducasse, sa naissance à Montevideo, son professeur de rhétorique Gustave Hinstin, son séjour à Paris et sa fin, il ne fait que reproduire à l’identique les propos de Louis Genonceaux dans sa préface à la première reprise des Chants, en 1890, propos que Genonceaux assure avoir été collectés auprès du premier (...)