ou comment l’armoire à portes vitrées des livres s’est tardivement rouverte
web & littérature, édition numérique, ateliers d’écriture & vidéo-journal
Articles les plus récents
-
autobiographie des objets | 60, « en prose »
9 février 2013, par François Bon -
autobiographie des objets | 59, pieds nus et carré blanc
9 février 2013, par François Bonles objets n’ont qu’une existence subjective
-
autobiographie des objets, 61 : fournisseurs et ronds de serviettes
9 février 2013, par François Bonla fin de l’histoire des objets est celle de la fin de ceux qui nous les fournirent
-
autobiographie des objets | 7, magnétites
9 février 2013, par François Bonhabitudes de toucher
-
Une traversée de Buffalo | bifurcation 1 | aires de repos urbaines
8 février 2013, par François Bonse mettre à l’écart, s’isoler, réfléchir
-
Une traversée de Buffalo | bifurcation 1 | service d’immigration
7 février 2013, par François Bonune ville ne se développe qu’à condition de forces neuves
-
Une traversée de Buffalo | bifurcation 1 | fabriquer ses ruines
7 février 2013, par François Bonles ruines sont favorables : on mesure mieux le présent si fragile
-
Une traversée de Buffalo | bifurcation 1 | la vie en quatre
7 février 2013, par François Bonune communauté ne se soude que par la distance – bifurcation 1, 1/7
-
[97] chaque lecteur est, quand il lit, le propre lecteur de soi-même
7 février 2013, par François BonSinon, pourquoi encore et encore lirions-nous Proust ? Mystère que cette activité et ce principe, elle est sans doute aussi d’obéissance pour l’auteur. Si Proust l’éprouve pour lui, cette obéissance, et qu’il se lit lui-même dans ce que son écriture déplie, bien trop avant dans la masse et le dispositif pour qu’il en ait la pleine maîtrise esthétique, intellectuelle ou simplement mémorielle, alors le livre sera offert à des traversées plus souterraines, plus profondes, où ce n’est pas lui (...)
-
Une traversée de Buffalo | index graphique
2 février 2013, par François Bonaccéder aux textes depuis l’image