on y perdait le jour, on y gagnait un grand calme
on y perdait le jour, on y gagnait un grand calme
pour écrire aux points névralgiques de l’urbanisme et du monde
qu’il faudrait bien une explication sur ce plafond mis à nos têtes
avoir vu cela avant, avoir vu la fosse, avoir vu cela grandir
celui qui franchissait la ville par le haut
on pourrait progressivement remplacer la ville même par nos usages réseaux
dans cette ville on enterrait sur place ceux dont on détruisait les maisons, cela semblait une solution rationnelle
des murs et rien derrière, le vide : la ville n’abrite plus
fonctions encore rares dans les villes, maintenant qu’elles sont vivantes
une nouvelle manière d’envisager le bonheur, ou la survie (au choix)