H.P. Lovecraft | L’ombre qui prit Innsmouth, §166

un récit essentiel de H.P. Lovecraft, en présentation bilingue


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I could not, I decided, risk an emergence into the corridor ; where my footsteps would surely be heard, and where the difficulties of entering the desired room would be insuperable. My progress, if it was to be made at all, would have to be through the less solidly built connecting doors of the rooms ; the locks and bolts of which I would have to force violently, using my shoulder as a battering-ram whenever they were set against me. This, I thought, would be possible owing to the rickety nature of the house and its fixtures ; but I realised I could not do it noiselessly. I would have to count on sheer speed, and the chance of getting to a window before any hostile forces became coördinated enough to open the right door toward me with a pass-key. My own outer door I reinforced by pushing the bureau against it — little by little, in order to make a minimum of sound.


Je pensai que je ne pouvais pas risquer de sortir dans le couloir, où on, entendrait certainement mes pas, et où les difficultés pour entrer dans la chambre souhaiter seraient insurmontables. Si je voulais y parvenir, je devais le faire en passant par les portes communicantes ; et je pourrai les enfoncer de l’épaule si les serrures et verrous m’en empêchaient. Cela restait possible, pensai-je, compte tenu du côté bancal de la maison et de ses menuiseries ; mais comment y arriver sans bruit ? Je devrais plutôt compter sur la simple vitesse, et la chance d’atteindre une des fenêtres avant que les forces hostiles n’interviennent tout comme ils avaient ouvert la porte de droite devant moi avec un passe. Alors je renforçai ma propre porte en poussant la table contre elle – peu à peu, pour faire le moindre bruit possible.

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1ère mise en ligne et dernière modification le 31 décembre 2017
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