– de Jean-Pierre Suaudeau, nous avions accueilli Le lac, récit où la langue va se dissoudre vers les paysages, s’attarde aux inventaires de lieu, pour revenir plus forte à la relation qu’elle met en oeuvre – on retrouvera ce lyrisme dur, d’un grand lecteur de Claude Simon, dans sa Femme à la nature morte ;
– Pascale Petit nous avait confié dès le lancement du site un texte à sa manière, sans rien d’absurde puisque tout est logique, mais où le réel qui se recombine depuis la vision spécifique des personnages induit tous les décalages possibles, presque à la façon de Vvedenski et des futuristes russes... nous n’avions pas mis à jour ce Nous devons attendre que le jour se lève, c’est fait et ça le méritait...
– on l’a dit : pas d’autre cohérence à notre collection de classiques que le plaisir, le goût du singulier – longtemps que je souhaitais installer Perrault dans ce paysage, avec le dur et violent Peau d’Âne, sur fond de mariage forcé avec inceste rien de moins, et le conte rabelaisien qui le précède, sur la fable traditionnelle des souhaits ridicules, plus version audio de 26’ – c’est gratuit, cela vous permettra de vous familiariser avec notre belle machine, et créer votre bibliothèque numérique...

Nota : dans la transition à notre nouvelle plateforme, un petit oubli technique nous obligeait à valider manuellement les commandes, nous nous en sommes aperçu hier soir, merci de votre patience... Cela confirme l’importance de vos retours, souhaits et usages.