Bon, on peut pas appeler ça une journée terrible, et hier non plus. Article refoulé 1 heure après envoi alors que dessus depuis le matin 6 h jusqu’à l’après-midi 16 heures, le commanditaire attentionné aurait pu attendre demain pour me le dire ça m’aurait moins sonné à chaud, on maîtrise pas ces trucs-là. Et puis un autre texte, envoyé en octobre, là ça avait été bien accueilli, même très sympa et depuis plus de nouvelles : « Par
ailleurs, vous devinez que les mois qui viennent seront calamiteux pour les
livres d’art. Nous voudrions donc vous proposer une modification du contrat :
au lieu des 500 € forfaitaires, nous proposons à chaque participant une avance
de 200 € sur des royalties de 1% sur le prix de vente public hors taxes par
exemplaire vendu, et 2% des sommes que nous toucherions en cas de traduction. » Au moins c’est clair et limpide – et leur souhaite de tenir, aux amis. Le problème, c’est quand ça devient général. Du coup, je commence mieux à comprendre la chance qu’à publie.net ils me gardent dans leur personnel (et pensée pour tous ceux qui s’y sont embarqués, youpi que ça vogue !)... Allez, volets clos sur le Noël du monde.