Quelques jours au vert, avec connexion Edge, très bien pour se reconcentrer sur le boulot perso (plus de mal avec la boîte mail et les trucs administratifs empilés), mais entre les 2 cours à SciencesPo, pris un sandwich et venu me greffer sur la wifi de la salle des profs, décidé aussi à tenir les mises en ligne de nerval.fr et parer aux urgences. Du coup, entré quand même voir dans l’impressionnante salle aux casiers (Sciences Po, nombre très limité d’enseignants titulaires et immense armée de vacataires). Les autres années, on trouvait encore quelques papiers fossiles, ou résidus administratifs et syndicaux, c’est bien fini maintenant. S’il y a des papiers dans certains casiers, c’est qu’ils attendent depuis un ou deux ans. Rien dans ma boîte à moi. Qu’est-ce qu’on peut faire avec un lieu comme ça, et sa vieille lumière jaune ? J’en sais rien. Revendre en bois de chauffage, s’en servir de mur d’escalade, murer la porte ? Beau moment ce matin en arrivant avec Robert Cantarella et Jean-Michel Frodon, il y a du vivant qui circule ici (et les textes que mes 2ème année ont écrit, à partir de Charles Juliet). Juste on constate, petit à petit, la réorganisation numérique.