J’avais déjà fait exactement la même image, ça s’appelait le livre de pierre d’Aliénor, c’était en août 2009 juste quelques jours avant le départ pour un an de Québec. Aujourd’hui il faisait – 7 dehors, pas beaucoup plus dedans, il fallait rouler dans la neige pour arriver à Fontevraud. On va venir souvent ici avec Claude Ponti d’ici juin, aujourd’hui c’était 1ers échanges avec les enfants qui bâtiront leurs maisons à cuire, j’avais apporté une grosse pile des livres de Claude, plus iPad et autres gadgets qui ne les effrayaient pas du tout. Les phrases sortent de tels abîmes. Visiter aussi avec eux l’abbaye, qu’ils en prennent possession. Et Aliénor, dans son immuable page, et ce qui s’en induit pourtant pour nous-mêmes qui à nouveau venons la saluer ?