Un ru à Rue, fait un Somme, caniveau d’une rue disparue, verrue incongrue du cours du Mort-Ru. Il a pignon sur rue. L’homme de la rue, a couru, accouru, en foule férue de morue salée, malotrue ventrue, disparue et réapparue, pour une aventure au coin de la rue. Fille de rue, dont on ne voit que la queue. Queue-de-morue, du peintre de rue. Un éducateur de rue et sa bru, bourrée bourrue, ont parcouru la grand-rue, en camion-grue. Chevilly-Larue, chevaux montés à cru, ruent, se ruent, tonitruent et courent la rue Michel. Ça fera la rue Michel. Drôle d’impasse!. Descente dans la rue, tout le monde est à la rue. La rue a parlé. La rue est au courant. Etrange théâtre de rue. Pression de la rue. On y a cru. Décrue. Une recrue a discouru, coquecigrue jetée à la rue. L’intrus abstrus membru, mourut.Tache drue sur un monstrueux quai écru, accrue par un rupt éruptif, obstrue la crue d’un ruz de montagne.
oui, ça fonctionne… mais attention toujours tenir à distance le jeu de mots quand il est uniquement jeu de mots, là il est pertinent quand il fait bifurquer aussi les résonances, les enjeux, tout ce qui nous « met à la rue », donc un super beau choix !
merci pour ces encouragements. Je me suis inspiré des poésies sonores du cabaret Voltaire en écrivant ce texte…C’était trop de la Ball