j'aurais bien posé quelques autres images notamment de la Turquie qui est un des points de transformation de l'histoire d'aujourd'hui j'ai l'impression - (dès que je l'ai vu, je l'ai aimé, ce Bosphore c'est pour ça) (sur les bords de la mer Noire se tient l'Ukraine, la Crimée, Odessa et la Roumanie où les opérations de chirurgie esthétique (tout comme celles de dentisterie) se pratiquent comme ici on boit un café (au bar (TEC) est une série, d'ailleurs))
drôle de mise en page du bidule c’est égal j’adopte – avec un peu de retard, sans doute – en prenant quelques images de la première seconde de ce cycle et puis quelques autres du journal intérieur – l’image d’entrée est la représentation d’un petit môme, douze ans peut-être (lorsque je courrais ainsi je n’en avais que 7) qui s’échappe d’un TIG pour aller dans un cours de chant (tirée de Mes frères et moi (Yohan Manca, 2021))
dans le poste il y avait cette chanson qu’interprétait pour Corinne (dite Cléo) Marchand quelqu’un (je retrouverai) intitulée « Sans toi »
j’ai appris avant hier que le consul de France à Los Angelès d’alors avait porté un jugement définitif (indiscutable on dit aujourd’hui) sur un de ces films qu’il fallait alors interdire – la censure ? mais quelle censure ? quelque chose dans ce genre – bizarre le titre du film s’est échappé
sur la droite du type en bermuda il y a une ombre, un fantôme, une goule, quelque chose qu’on cache – ce n’est qu’un humain qui sur un carton dort
c’est le pont du Carrousel( » il suffit de passer le pont, c’est tout de suite l’aventure » disait (chantait) le poète)
certainement une autre image d’elle (ici dans Mama Roma (PPP 1962)) celle où elle assène une gifle à un soldat allemand (Rome ville ouverte (RR, 1945) – la révolte ou la résistance : dans quelques minutes du film, elle courra derrière un camion qui emporte son amour, et sous les balles (la liberté ou la mort)
Courir vers un camion qui emporte son amour. Parfois sous les images (flouées – flottées- c’est le correcteur intégré qui ne veut pas) » floutées » il y a des morts … Mes frères et moi il me semble qu’on m’a dit d’y aller. Merci Piero
merci à toi (le film est vraiment bien – on pense à Emmanuelle C.)
paumée et contente