Quand il n’y aura qu’un bateau de vieilles planches échoué sur une mer de gravier, je ressèmerai l’eau obscure des voyages oubliés.
Quand les cheveux d’ange s’enrouleront au mât décrépi, je redessinerai la carte des prairies, je partirai au large vers l’azur.
Car espace point ne trahit.
Et jardin toujours varie.