Photo : Juliette Derimay
Un petit coup sur la vitre, battements d’ailes précipités et de nouveau des coups sur la vitre, des essais répétés, une obstination, une incompréhension de la transparente réalité du verre : la première mouche, le premier insecte, les trois coups du printemps, l’arrivée des acteurs qui s’installent pour la saison, le signal de prêter l’oreille au chant des oiseaux, au vent dans les branches qui va changer de notes une fois les feuilles revenues pour perturber sa course.
Réveil par effraction, un coup sur la vitre, battements d’ailes précipités, des essais répétés, une incompréhension de la transparente réalité du verre : la première mouche, le premier insecte, les trois coups du printemps, l’arrivée des acteurs qui vont s’installer pour la saison, le signal de prêter l’oreille au chant des oiseaux, au vent dans les branches qui va changer de notes une fois les feuilles revenues pour modifier ses courses.
Les trois coups du printemps, battements d’ailes précipités, des essais répétés, une obstination, une incompréhension de la réalité du verre : la première mouche, le premier insecte, l’arrivée des acteurs qui s’installent pour la saison, le signal de prêter l’oreille au chant des oiseaux, au vent dans les branches qui va changer de notes une fois les feuilles revenues pour détourner sa course.
Les trois coups du printemps, battements d’ailes précipités, des essais répétés, une obstination, une incompréhension de la transparence du verre : la première mouche, le premier insecte, l’arrivée des acteurs du printemps qui s’installent pour la saison, le rappel de prêter l’oreille au chant des oiseaux, au vent dans les branches avant les feuilles revenues qui perturberont sa course. Ensuite ouvrir les yeux sur les couleurs qui remplacent le monochrome de l’hiver, les odeurs, l’amer des premières feuilles en attendant le sucre rafraîchissant des fruits.
Très chouette répétition et cette progression, comme à se cogner encore et encore.