Un sous-sol immense. Servant de garage, de cave. Tout le barda accumulé en enfilade dans les pièces sans portes, les larges ouvertures aérant la grisaille, tout le long du mur à peine des fenêtres, des soupiraux ajoutant une lumière faiblarde. Sur les murs de côté des casiers pleins de boites et le grand panneau perforé avec l’outillage par ordre de taille et d’usage tellement d’ordre au milieu du fatras modifiant l’ambiance, ajoutant une harmonie douce, convergeant vers le poêle et son tisonnier baguette magique instrument majeur d’un orchestre imaginaire, ici tout est gris mais chaud et apaisant, l’espace s’élargissant véritablement comme une respiration. — le propriétaire descendant l’escalier, suspend les rêves.
On y entre, on s’y sent. Et comme une envie de se mettre à bricoler. Merci Simone.
Merci Ugo. Ça me fait tellement plaisir. (je viens de lire ton #6 Transmissions…du grand art sans avoir l’air d’y toucher.)