beau comme la partie comprise entre les sourcils et la racine des cheveux s’étendant latéralement d’une tempe à l’autre et reflétant la faculté d’encaisser avec plus ou moins de dommage le mouvement rapide au bout duquel un corps vient heurter un autre corps beau comme la section perpendiculaire d’une cervelle d’âne avec plus ou moins de vanité beau comme une force impersonnelle extérieure douée de qualités transcendante même crucifiée beau comme son corps céleste qui ne jouit plus que d’une partie de l’ensemble et marche sur le devant de la ligne de démarcation entre deux masses d’air convergentes beau comme la longue traînée lumineuse qu’elle étale autour du noyau de son astre à cause du déplacement d’air plus ou moins important ressenti à la surface du globe
beau comme tout cela et beau comme le corps céleste qui « marche sur le devant de la ligne de démarcation entre deux masses d’air convergentes »
Beau.Oui Beau. Comme le déplacement d’étranges et fantastiques sentiments à la surface du texte. Merci Nathalie Holt.
Brigitte, Ugo merci de vos passages