La violoniste azérie
Adagio de la première sonate pour violon BWV 1001. Menton fier, cou solide, elle semble pleurer avec ses cordes. Dans le public, un homme laisse des larmes le submerger. Elle cherche en son corps tout ce qu’il enferme de mélancolie. Ce n’est pas difficile à trouver. Il y a le mal du pays, d’autres montagnes que celles d’ici, ce beau Continuer la lectureLa violoniste azérie