Du côté de l’anse opposé à celui où nous étions je ne pouvais rien percevoir de ce rare moment. Rien, sinon l’indicible beauté du miroir de l’eau tremblant le ciel. Rien, sinon la lumière qu’elle seule sait apprivoiser. Lumière plurielle, changeante, rasante à l’heure d’une marée montante.