autobiographies #15 | Un couloir et des portes
Table aux écritures, face à la haute fenêtre d’où l’on voit la rue. La chaise inconfortable sur laquelle repose un coussin pour le dos. Espace pour traduire uniquement, pour se perdre et s’enfouir dans les langues de ces peuples qui avaient l’art de chasser les peurs. Il écrit: De l’eau debout ? — La canne à sucre. La haute fenêtre de Continuer la lectureautobiographies #15 | Un couloir et des portes