#écopoétique #09 | Ce qui se dérobe.
Il suffirait de suivre l’odeur. On avancerait le corps comme chien pisteur à petits coups d’inspirations furtives par les narines et il nous faudrait descendre. Marche après marche depuis là-haut. Pivoter le buste après la première volée d’escaliers, le regard à peine distrait par la fenêtre étroite tout en face avec son fin voilage froncé comme pour protéger la mariée Continuer la lecture#écopoétique #09 | Ce qui se dérobe.