#L8/ Les cavaliers
…et soudain, alors que l’haleine givrait sur le bord des écharpes, leur mère claironna : « C’était un soir… » et toute la fratrie se mit en position, joyeuse, une jambe arquée devant, l’autre tendue derrière, les feuilles mortes collaient aux semelles, gluantes de terre lourde, et dans les mouffles ramenées à hauteur de poitrine, dans cette imitation du geste des cavaliers, Continuer la lecture#L8/ Les cavaliers