Caroline et Sébastien
Caroline : lisse et blanche, l’œil fendu de vert, des rougeurs soudaines, une peau de porcelaine dont on devine l’extrême fragilité. La toucher, ce serait la briser. En son for intérieur : si ce plafond se déchirait, ce ne serait pas le ciel, ce serait l’océan. Elle plonge la tasse dans l’eau bouillante, puis l’assiette, puis la cuillère. Elle n’a pas mis Continuer la lectureCaroline et Sébastien