Mademoiselle Porterie, habite au numéro 1 avant 1955.
Le charcutier travaille au numéro 1 entre 1955 et 1980.
Phil du charcutier habite avec ses parents au numéro 1 entre 1962 et 1980.
Monsieur Gonzalez habite avec son épouse au numéro 1 de 1980 jusqu’à sa mort.
Madame Gonzalez habite avec son époux au numéro 1 de 1980 jusqu’à sa mort.
Monsieur Paillade prend sa retraite au numéro 7 de 1946 à 1968.
Madame Paillade accompagne la retraite de son époux au numéro 7 de 1946 à 1971.
Charton loue chez les Paillade de 1961 à 1971.
Chantreau habite au numéro 7 de 1971 à 2019.
Catherine vient rendre visite à Chantreau régulièrement au numéro 7 de 1975 à 2019.
Madame Ginibrède habite au numéro 9 devenu 9 bis de 1954 à 1999.
Monsieur Ginibrède habite au numéro 9 devenu 9 bis de 1954 à 1999.
Phil d’en face est gardé l’après-midi par Mme Ginibrède au numéro 9, de 1969 à 1973.
Claude habite au numéro 9 de 2000 à 2019.
Francine habite au numéro 9 de 2000 à 2019.
Ralph habite au numéro 9 bis de 1995 à 2019.
Sylvie habite au numéro 9 bis de 1995 à 2019.
Mme Bousquet meurt au numéro 11 en 1965, alors qu’elle y habitait depuis 1944.
M. Bousquet vit au numéro 11 de 1944 à 1969.
M. Cicourel vit au numéro 11 de 1969 à 2019.
Mme Cicourel vit au numéro 11 de 1969 à 2019.
Jojo Peintre répare des vélos au numéro 12 de 1935 à 1980.
Mme Peintre nettoie les bleus de travail de son époux au numéro 12 de 1935 à 1980.
Popaul Peintre grandit au numéro 12 de 1950 à 1970.
Agathe Peintre grandit au numéro 12 de 1940 à 1960.
Les Delot habitent au numéro 12 de 1981 à 2019.
La Perlote range sa charrette à bras au numéro 10 de 1930 à sa mort en 1985.
Le banquier du Crédit Local rend de fréquentes visites au numéro 10 de 1975 à 1985, avant d’en devenir propriétaire jusqu’en 1998.
Jeanne, Reine et leurs parents habitent au numéro 10 de 1986 à la séparation des parents en 1998.
Pierre Hoffman, Claire Roger et leurs enfants Paula, Claudio et Gustave habitent au numéro 10 de 1998 à 2019.
Les Laroque, Marius et Antoinette, habitent ensemble au numéro 8 de 1936 à 1999. Auparavant, Marius y avait grandi, depuis 1921, alors qu’il avait 12 ans.
La mère Laroque, Marceline de son prénom, habite au numéro 8 de 1921à son court séjour à l’hôpital avant décès, en 1975.
Josette Laroque épouse Cassé grandit au numéro 8 de 1939 à 1959, exception faite d’une année de guerre.
Marie Laroque épouse Liotet grandit au numéro 8 de 1943 à 1968, exception faite d’une année de guerre..
admire (et je n’ai pensé qu »aux liens falilaux)
avec les dates et la nature du lien à l’immeuble cela fait une formidable base pour tenter d’imaginer