Qu’est-ce que tu veux, c’est comme ça, on a beau lui répéter, rien ne change, c’est pas faute de répéter – la cruelle impuissance, mais c’est pas ce qu’on veut – j’ai bien résisté jusque-là mais finalement, qu’est-ce que tu veux, pas moyen d’y couper, j’ai craqué, j’ai dit oui – perte totale de volonté, délicieux abandon, c’est ça qu’on veut – qu’est-ce que tu veux, c’est plus comme avant, les gens changent avec le temps –- le constat amer, avec le temps plus comme avant, c’est les gens qui changent et on reste – qu’est-ce que tu veux que ça me fasse, c’est pas mon problème – pas un problème alors qu’est-ce que ça peut faire de s’en laver les mains – et puis on a continué, on savait pas qu’est-ce que tu veux que je te dise, c’était comme ça – on ne trouve pas les mots, les yeux sont restés clos – oui mais qu’est-ce que tu veux, c’est fondamental ce truc là – une telle évidence, comment ne pas vouloir – qu’est-ce que tu veux, je sais plus quoi te dire – la vérité, les yeux dans les yeux – c’est pas faute de l’avoir prévenu, qu’est-ce que tu veux, je le savais, ça devait arriver – la terrible fatalité comme dans une boule de cristal – c’est comme ça qu’est-ce que tu veux, j’y vois plus assez pour coudre – glisser sur la douce pente vers l’inexorable destin– qu’est-ce que tu veux ?– une mauresque avec des glaçons sur la terrasse au soleil.
Efficace mais court. On aimerait prolonger la lecture, qu’est-ce que tu veux !
Merci, court mais long à écrire pourtant, le cycle progression porte bien son nom pour moi!
vais avoir plus de temps, le SEL m’a amenée..
si j’arrive à tenir la chaleur devant l’ordinateur me ferais une joue de repasser, désolée suis qu’est ce que tu veux !