• pour compléter la vidéo : j’insiste bien, sélectionner dans vos textes de l’atelier un fragment, un simple paragraphe, tout un texte, dans lequel vous avez utilisé – fréquemment ou pas – une énonciation à la première personne («je»), et c’est ce paragraphe qu’on va distendre selon le travail effectué par Dupin lui-même, je, il, et l’écriture ou le livre ou tout simplement le réel évoqué cette fois sans énonciateur propre…
• ça a l’air compliqué, mais ça ne l’est pas : aucun a priori contre les énoncés à la première personne, juste éduquer notre vigilance, ou scénariser leur présence, apprendre la liberté de l’énonciation neutre, ou autonome – d’autre part, dans cette distension du il et du je, parlant du même locuteur/scripteur, une mise en abîme du geste d’écrire qui peut se révéler une dimension neuve ou inattendue du texte
• ici l’ensemble de vos contributions (et bien penser à «taguer» la vôtre
• l’ensemble des propositions via le sommaire général
J’ai des textes en « je ». Mais il ne me semble pas qu’il faille seulement transposer en « il ». Quelque chose de fondamental m’échappe dans le protocole de la proposition. Je ne vois pas encore comment commencer… Encore un effort de réflexion pour comprendre le but du je(u) !
Merci pour cette très sente en sauvagine d’écriture …