Non pas la fenêtre en ce qu’elle définit un cadre à découper en 2D des fragments de réel, ceux qu’on a devant soi ou ceux que mémoriellement on porte, mais parce que cette surface transparente est doublement réfléchissante : c’est vous que le paysage regarde, et vous-même que vous cherchez en regardant. Débusquer alors ces fenêtres au présent ou ces fenêtres-mémoire, c’est ouvrir la place à la méditation réflexive sur soi-même. Et merci que touit soit à la troisième personne du singulier, toute la potentialité narrative ou fictionnelle en viendra.
• à consulter dans les fiches imprimables : «Fenêtre sur le monde» de Raymond Bozier, mais en tenant vraiment compte qu’il s’agit plus de traiter de la fenêtre comme surface réflexive et méditative, mémorielle, qu isolant un fragment de réel extérieur projeté en 2D.
• sommaire général des propositions, plus inscription à l’atelier (pas trop tard pour nous rejoindre, chacun va son rythme, ouvert jusque fin octobre)
• l’ensemble des contributions liées à la proposition 6.
c’est pas une fenêtre d’où l’on voit Tours celle-là…
Et bien on va se pencher un peu par la fenêtre…Belle proposition …