Un voyage qui serait plusieurs voyages à la fois. L’abandon des cahiers d’écoliers pour les carnets, plus petits, plus épais, qu’on transporte partout avec soi. Des pages qui formeront un manteau d’Arlequin où les couleurs pourront changer d’une page à l’autre mais où Arlequin(a) tiendra le fil, comme le fil des jours, tantôt en grimace, tantôt en sourire ou en regard-miroir…