Il n’est devenu le livre qu’avec ces petits sédiments d’existence, qui, petit à petit, sont venus s’ajouter à sa masse imperturbable d’œuvre, ces presque rien que l’on dissimule, que l’on n’écrit ni ne dit. Non ce ne sont pas les premières lectures studieuses qui le révélèrent, le livre, ni même cette couverture désuète des vieux poches, qui plus est doublée d’un couvre-livre éreinté de bibliothèque. Pourquoi avoir volé un poche abîmé ? Peut-être pour garder avec soi cet autre qui avait tout compris sur les femmes comme elle, cet autre dans lequel les affres des passions déchues pouvaient venir s’épancher sans honte.
Resserré et intriguant… Bonne suite,
C
Oh merci Catherine, à très vite dans nos textes!