La deuxième fois identique à la première, un même décor où domine un noir minimal, une lettre, décalée par rapport aux autres, pour attirer l’attention sur un événement qui n’en est pas un parce que c’est normal que cet homme parle y compris pour ne dire rien de ce qu’il serait normal d’entendre. tempête—cap—guichet d’aide—stratégie derrière—guerre—crise—désarroi—forte—juste—apaisée La suite dans le même décor où les formes géométriques noires disent le sérieux de l’événement qui n’en est pas un parce que c’est normal que des commentacteurs suivent une parole unique et l’expliquent y compris pour ne dire rien qui pourrait la contredire. cap—stratégie—guerre—crise—forte—juste—apaisée Mêmeté de la troisième fois qui surviendra avec toutes les autres, conforme à l’ipséité de la doxa tempête—cap—guerre—crise—forte—juste—apaisée
Merci Ugo, cette doxa-là – anxiogène, perverse, répugnante – on en a marre de l’entendre
oui, je commence à m’y retrouver dans toutes ces complémentarités d’approches – et oui aussi, dans tous ces textes le mot collecté comme ayant statut de photographie, d’arbitraire et intouchable
Bonjour Ugo
Éternel retour du discours de la doxa avec ses mots flashs fixés. Merci de le donner à voir.
Piero, François, Fil merci de vos passages et retours.
merci Ugo de remettre les mots à l’endroit ( ipséité malfaisante ou pas il a fallu que je regarde le sens exact)
Vous n’êtes pas seule Nathalie. Moi aussi je suis allé rechercher le sens de ce mot que le Président de la République a cru bon d’utiliser il y a peu lors d’un discours sur la paix fait à Rome.
Très bien vue, cette collecte-là et des chaînes de mots dont on perçoit des images. Non en fait, elles s’imposent à nous. Fortes.
Merci Perle de votre passage, de vos mots et de vos textes.