Le trou dans le ventre, nausée. Le feutre hiver glisse des mollets jusqu’aux oreilles.
C’est être dans le corps et ne plus sentir que l’étau sombre qui se noue tout autour. Comme vide en un coup. Envolée la rivière. Même si debout, laminée face contre sol à l’intérieur. Défaite. Le venin qui rougeoie bien au dedans des veines, qui chemine. Avec lui, les pensées, le flot, noires, marines. N’en saisir aucune et malgré tout, sentir au loin des couloirs sourds les coups du messager qui frappe, qui heurte, le cerveau gourd.
Comme à l’intérieur d’un tronc d’arbre… C’était un refuge et l’on s’est trompé.
Merci Nathalie !