table des jours
entame : V|29 mars
et donc faire remonter les 29 (en août la remontée sera effectuée dès que possible - ici, 126 révisions)
commencé en mots mais continué en illustrations
changer de page tous les 3 mois
beaucoup de précédents carnets ici là ou ailleurs - sans lien (internet) sinon le dernier ici
D|30
par la grâce du petit cintré jésuite, prince certes mais hypocrite (ça n’est pas exclusif) on est convoqué à un devoir civique – on y va, certes (cette fois, au lieu de 7 vers à peu près la même heure enveloppes (marron chiasseux) il y a trois semaines – huit heures vingt – il y en avait bien 40 (bleu clair) – voté prok pour A.- à ce propos (me disais-je lisant la contribution titrée « Un acte manqué » (avec un téléphone, poser en commentaire : « ils sont toujours réussis » m’est assez problématique sinon périlleux) et si E. était une femme ? (je crois que les accords compléments d’objet placés avant le verbe etc. d’orthographe de syntaxe de grammaire sont plus ou moins respectés – encore que le respect en ces matières…) – mais et si ? (add. après la 11 : ça ne changerait rien, les gens sont des muffles)
remembrance : dans la série dialogues – laquelle compte cinq numéros (et ne figure pas dans le déroulant des cycle – osefu2p en fait si) – déjà des développements sur le projet AM – cherchant hier, pour les besoins du 9 d’anthologie le billet produit sur la piazza Barberini, je suis retombé « par hasard » dessus (c’est donc sur ce word press-là qu’il était) – (ici le dialogue avec la tablette oui-ja )
(et là le billet de cette place)
ça bosse – je relis je relis je relie
L|1
comme le veut cette maladie, tous les signes ont et prennent une importance excessive, l’un d’eux – le mois de juillet – correspond à des moments disons cruciaux (ce qui s’est passé hier est absolument détestable) le déménagement-patriement, le début de la vie professionnelle avec cette certitude, le soir de ce même jour venu (mais en soixante neuf) de ne jamais travailler à l’usine – jamais, et jamais plus – la fatigue, le corps rompu – la joie de vivre – la peine de la mort de mon père quatre ans plus tard
il y avait eu cette communication, cette lecture de MM lors du colloque sur le Navire Avenir – un texte qui décrivait un jardin,celui réalisé par un homme prénommé Yussuf – j’en parlai ici – le voisin du dessous porte à peu près le même prénom, comme un des grands-oncles (par alliance – sans mariage cependant) de mes filles – et puis cherchant, j’ai trouvé ceci, « entre le Ponte di Ferro et le Ponte Testaccio », sur la rive gauche du Tibre
on voit ici l’escalier de pierre qui mène au havre de paix (et l’opérateur qui s’intitule (je suppose) Federico Occhionero) là, la cabane
puis ces plantations cactus aloé qui en marquent,en un sens, l’entrée – libre,ouverte, permise à qui veut
M|2
sept heures et demie et se demander si les trois villes sont importantes ou seulement prétexte à texte surplombant – dronatiques – gsv – Berlin à la fraction armée rouge, Paris à l’action directe et Rome à Aldo – Lisbonne à ses œillets, Istanbul et ses mosquées et Gênes pour son sommet (du G je ne sais quoi au début du siècle, le juillet d’avant les tours jumelles) El djem et son amphithéâtre Gibraltar et son rocher et Londres son Soho – parfois il fait tellement nuit – maux de crâne dentisterie
- de E. zéro nouvelle (mais non, sont dans le bateau, arrivée imminente à Marseille (à l'image taxée sans la moindre vergogne : Sousse-plage) : ils y sont, midi)
- de E. texto du 4/7 à zéro heure deux "on part"
- vers midi "on est à Lyon !!" (il y a des gens que j'adore)
as-tu remarqué comme ça ne répond que peu le week-end, en fin de semaine, et le soir ? –
M|3
« divine surprise (me dis-je allumant le poste france q alias radio paris) (attendant le café) de la musique !! » – parlotte normalement en ces heures de petits déjeuners au calme – « ils se sont mis en grève ! » – j’avais cette joie enfantine sans doute, spontanée (le prix Nobel de littérature Ernaux avait cette même joie en décembre 1995) certainement, mais en vrai non : il s’agit de la « grille » d’été – le matin commence à 7 heures dans cette conventionnelle consensuelle convenue maison dirigée par la karaokéenne de service – tandis que d’autres s’envolent vers des cieux plus radieux – j’ai fermé le poste et versé le café chaud dans ma tasse – sans relation, une des séries menées ailleurs
J|4
c’est probablement en quête d’une espèce de reconnaissance que j’envoie des mails ici, ou là, sans en attendre plus que ça – d’ailleurs, plus que ça c’est non, ça ne vient pas – c’est vrai que je m’en fiche un peu : il pleut ce matin – l’ambiance a quelque chose de pourri – j’entends des bruits odieux – d’ailleurs il ne pleut plus (« le quart état » par Giuseppe Peluzzi, achevé en 1901, après une dizaine d’années de recherches – il faut tenir)
tout m’est tellement odieux – ce climat ces horreurs ces mots ces actes – ça ne cessera donc jamais… (phase dépressive – trop gros trop pauvre trop fainéant trop paresseux)
V|5
mal au cœur – dieu merci (comme disait ma grand-mère aux cheveux mauves – Malou -son prénom était Louise, je ne crois pas que ce soit inscrit sur sa tombe – vers Berlioz) je n’ai (ni ne regarderais) cette pourriture de télévision (je n’écoute pas non plus radio facho) (à peine radio paris) (ce moment m’est particulièrement odieux, pénible et insupportable) (j’agonis lorsqu’on m’empêche de rire) (hier, mon amie M. au téléphone était en train de tracter : mais la militance, non, vraiment je ne puis – pardon) chaud au cœur quand même par la flânerie, quelques mots et de belles images
(c)NH
ce qui fait que j’ai pris du retard d’atelier – la documentation sur l’appartement de la séquestration – je lis je ne dors pas – garder sur le métier l’ouvrage et le reposer – encore et encore –
S|6
(la maison remarche – j’ai des images des scènes intérieures – faudra) (en revanche la caisse fait des appels au secours – clignote comme si on en voulait à son honneur – mais ne démarre pas – les vacances ce sera pour une autre fois – merci qui hein…
D|7
jours tranquilles – le type (Kamel ou Kemal) est arrivé dans son berlingo aux couleurs de son garage – « elle fait des guirlandes ? c’est la batterie » – changement : 180 euros – eh bien – le songe à la cartoucherie – les chapiteaux, les caravanes, les histoires de rôles, de personnages, de costumes et de musique – la belle vie ? peut-être mais fatigante –
(journal d’atelier : en lecture le numéro d’autrement « l’Italie des années de plomb » -nommées « de cuivre » par Erri De Lucca : je préfère – réactionnaire, très « science po » ménageant chèvre et chou – beaucoup d’informations sur ces moments-là dans ce pays-là – il faudra trouver quelques jours à choisir) je passe mon tour Sarraute bien qu’ayant vaguement rédigé des listes de mots tout faits et des dialogues aux trois points
L|8
on respire un peu mieux – un quart quand même… c’est ici que ce sera exprimé – vacances légères et cueillettes de cerises napoléon (ici quelques roses uniquement pour vous
regardant ces roses ce matin puis l’arbre au jardin, je me rends compte que je n’ai plus de « meilleur »ami – mon frère mais cette amitié-là oui – le monde est injuste
M|9
c’est en lisant le magnifique Les mémorables (Lidia Jorge, traduit par Geneviève Leibrich Métailié 2017) qu’est venue l’idée de la photo (je vois que la 18 a rapport avec Hervé Guibert, on verra bien) – travaux dans la rue – retour au bercail – le rêve était atroce (à l’image une des tentatives d’élucidation de la fabrication des preuves
la justice humaine, c’est quelque chose qui se négocie)
M|10
j’aime le vent et les courants d’air parce qu’ils me donnent la sensation d’avoir la possibilité de vraiment respirer – il n’en est rien –
durant le premier confinement (« nous sommes en guerre » déclarait le petit) le parallèle des dates a été mis à profit dans le journal de L’aiR Nu – il faudrait s’en préoccuper, le travail entrepris là à regarder à nouveau : voilà qui semble tomber bien avec le #19 (c’est fait)
je garde par devers moi les non-réponses et du PEROU et de la MM (probablement motivées par une crainte d’invasion – nous avons le pouvoir de nous nuire) (retour de MM cependant vers le 25) : on peut les intituler trahisons (à ce moment-là de l’histoire – bah)
c’est à ce propos qu’on peut savoir qui sont les « vrais » amis – sont-ce ceux et celles dont les mails arrivent au même instant ? – je me souviens de A. qui avait été hospitalisée (les circonstances me sont oubliées obtuses aveuglées) je crois qu’elle était seule à Lariboisière – comment se dire ami ? – d’autant que le mot est vicié, avili, boueux
j’ai cessé de (re)lire l’extrait de « Les années » après le Valli d’Alida – je me souviens d’elle comme de Léa Massari (disparue le 30 juin, sans qu’il en ait, ici, été fait mention) – des actrices que j’aime
un jour me vint un mail adorable « crois-tu à la transmission de pensées? » j’ai dit non – je ne suis pas un bon ami sans doute… (la bouteille de viognier va y passer, si ça continue)
c’était autre chose, mais j’ai oublié – 19 toujours : dans le déroulé, je n’ai pas mis le numéro 13 mais le 12 bis comme aux hôtels, sans cocher la case idoine – il me fallait oublier certainement les superstitions
comme je suis là je t’attends (et cette chanson magnifique de Michel Jonasz, trois francs cinquante pour mon cœur tsais) (le souvenir du messie)
J|11
comme un goût d’échec (cette fameuse conduite intérieure)
V|12
j’y travaille – désespérément – trop de pluie peut-être
suite du feuilleton : E. et la caravane
voilà que le camping-car de R. ne veut pas démarrer... le retour à Bx vaguement retardé - la beauté des choses vues de l'extérieur
9h17 : "ça y est on est partis !!!"
jeudi 25 : retour à Bruxelles (autobus 20h), prochaines sessions début août
10 11 12 août :représentations en Bx crois-je savoir
renouer avec l’obituaire (chiadé ce coup-ci) : salut Shelley…
image de tournage de Shining (1980) – image du film quand elle découvre la teneur des textes qu’écrit son mari
S|13
tiens j’ai manqué le treize
D|14
pas si grave – je me suis planté quand même d’emplacement de billet (ce serait plus celui-ci qui devrait se trouver ici) (on s’en fout à peine un petit peu : la flemme et j’ai des trucs à faire) – un peu de back to the street collé sur le mur de la cfdt à Belleville
L|15
gâchis
« toi qui vas demeurer dans la beauté des choses »
on n’aura pas d’autre explication : le hasard – sûrement oui c’est ça – aussi sûrement que la terre est ronde, le hasard – TMC contre LHO – cryptons camarade – wtf DJT contre JFK – si tu vas par là, Reagan aussi y a échappé – le hasard, une trajectoire, un brusque coup de vent, un mouvement du cœur, un regard des dieux : voilà tout – le dégoût profond d’inspirer ainsi ce type de regret
au mail service minimum (bah); fièvre mal au crâne articulations grillées – bah encore : coronavirus quand tu nous tiens – annulation de la présence à la déambulation R’Nu
M|16
c’est qu’il faut que le corps parle – bien sûr le faire taire, il revient par la fenêtre – le test est négatif pour cause de non opération – un miracle de dieu : j’adore – et d’ailleurs donc de plus en plus ni dieu ni maître(sse) : fuck off (en toutes lettres dans l’idiome du coin) – la pourriture pestilentielle qui s’exhale de ces pratiques (et cette ordure de VO. qui parade)
M|17
je ne vois plus qui est le VO en question (si, c’est le hongrois) – paradant – ça va me revenir – fièvre et douleurs – des images de Chantal Akerman sur le tournage de son Golden Eighties (1985) suffisent à mon contentement – entre les sautes de suées – j’ai vu (par ailleurs) que ni l’indignité ni le ridicule ne font couler (sinon l’encre qu’en espère l’édile – quelle pitié… – et pourtant je l’aime bien mais là vraiment – être à ce point agie, ça me dégoûte)
J|18
autofiction (chômage technique) (syndrome respiratoire aigu sévère dit la doxa – as-tu vu la légitime proximité qu’entretiennent les acronymes de cette maladie et l’agence régionale de santé – c’est beau, le hasard)
V|19
la fièvre est tombée – la vérité six heures moins-le-quart le jour point
un type dans le poste avait quelque chose de rassurant dans le langage qui, tout à coup, devenait celui de tout le monde – un ambassadeur (ex) Éric Danon (émission sur la faillite des accords d’Oslo)
S|20
tiens j’ai oublié les étiquettes (hier, regardant Place Vendôme (me souvenant de mon oncle que je salue – mon père mourut ce jour voilà 52 ans) il m’a semblé reconnaître W. parmi les convives (et anéfé) du repas « d’adieu » de Fresson (histoire triste : elle boit pour oublier et lui va jeter sa merco contre un camion de bois (il a des ennuis) – la deneuve a 55 ans mais dix-huit ans plus tôt lui en donnerait 37 soit au minimum 15 de plus que le rôle)
je retrouve cette image grisée des grilles d’emprisonnement des quais
(au fond de l’image la (nouvelle) marquise (ou l’auvent si tu préfères) de l’hôtel – add. du 15 août : je n’en verrai pas la réouverture) à rapprocher de cette image-ci (où on note que le photographe est à l’intérieur du wtf dit périmètre) (ce gâchis obscène)
D|21
c’est quand même grâce à cette pourriture de merdalakon de sars cov deux de chiottes que les arbres, les herbes les plantes et les bêtes se sont tout à coup en ville réveillées et que ces pourritures de chiottes de merdalakon d’avions et bateaux de croisière au kérosène détaxé et autres quatre-quatre ont arrêté leurs effluves – « nous sommes au bord du gouffre » criait Léo dans les années soixante-dix – il y a un demi-siècle – nous y sommes
il y avait autant de policiers que de manifestants – c’est beau la France, en forme olympique – la capitale est nassée elle aussi – les journalistes ont intitulé à présent la chambre des députés la « chambre basse » car la haute est (plus à droite?) sénatoriale – que de la pourriture partout… (jte parle même pas du Bangladesh)
L|22
il y a quelques années je prenais des images au cinéma – un jour un sale type s’est permis de me faire une réflexion genre « on n’a pas le droit de faire ça » ou plus exactement « vous n’avez pas fini de nous faire chier avec votre portable non ? » – je n’ai rien dit, c’était un de ces individus contemporains d’alors et d’aujourd’hui qui se sentent « décomplexés » – ça se passait au cinéma de la rue des Archives où, dans la grande salle du bas, on donnait Senso (Luchino Visconti, 1954) – par ailleurs fort beau film, programmé en cette salle du fait des mœurs du réalisateur en accord avec celles des passants ou habitants, je ne sais, du quartier – la remarque m’a profondément blessé – le sale type a gagné j’ai cessé (on nous informe souvent que c’est complètement interdit la captation et de l’image et du son – le cinéma est un lieu informe) – hier quand même (j’aime assez la première manquée mais tirée du Guépard (j’apprécie l’amorce du piano,bord cadre en bas à gauche)
pourtant la salle de cinéma est un lieu aimé – après c’est autre chose
ce doit être tiré de son Ludwig, le crépuscule des dieux (1972)
au fond(?) c’est toujours à nous de faire le premier pas (après, derrière le « nous » tu mettras ce qui te convient: par exemple parent(s); ou amoureux; ou subordonné.e; )
il y a une chanson de Matt Bianco More than I can bear dont le début (ce sont chœurs) m’émeut toujours jusqu’à la ligne de basse – après la ligne de la chanson me gave – je préfère de loin, très très très loin celle de A whither shade of pale Procol Harum mais surtout Annie Lennox, déjà ici mais ça ne cesse dans when we call out for anoooooooooother driiiiink (vers 1’13 ») (ceci est une invitation)
et moi de répondre dans l’heure, comme un abruti (cesse) – laisse va (et après d’attendre – heureusement David Bowie et son Modern love (comme dans Frances A) et le pupitre qui souffle derrière – tant mieux)
M|23
la pluie aujourd’hui : tant mieux, si ça pouvait durer… – que reste-t-il d’autre au Revers de la Médaille que de s’en remettre aux dieux ? dans le boite (et aux rois)
(ah tiens j’avais lu Ellroy) tout va trop vite – rien ne s’apparente à rien – plus de radio – détestation dans le parc (les sportifs tellement heureux, fiers surtout : ah la compétition comme c’est beau, que le meilleur gagne (pour les filles on verra plus tard – bon d’accord d’accord distinguons – pour les handicapés aussi t’inquiète) (c’est beau la prison ? ) – on s’en fout allez (mais qu’est-ce que ça pue en ville et au parc des nations (notre beau pays s’enorgueillit d’ailleurs d’un symbole (une espèce de saloperie de flamme qu’on trouve chez les ordures) notre belle nation, dans les roses certes est la signalétique (cette puanteur) – cesse stp – oui
hier, après le pont bleu
M|24
trouvé ça quelque part (Uzès peut-être bien) (je range)
et cette image-là du bac à la nuit et du vendeur de chaises
J|25
deux contemporains : un squatter (il se repose sur le cyclo mais le propriétaire viendra plus tard reprendre son bien) (la dame s’est précipitée)
une œuvre d’art
V|26
ça va être compliqué – on s’en fout, c’est possible – mais ça va être compliqué (on en est à 33 et pas certain de l’intérêt de la consigne – ou certain du désintérêt) – compliqué il y a six ou sept alternatives – ici le journal qui reprend un cas d’école (l’année dernière vers octobre si souvenir – j’irai voir si ce n’est pas trop compliqué – mais ça va l’être)
on sacrifie à la puanteur moderne – se dépasser, se respecter, participer, meilleur, or, Seine, milliards, barrières et cages – on est partis
la footeuse « réagit » – ça ne va pas tellement plus loin
S|27 & D|28
(j’ai du mal) je réitère : Yes Aya !!
(en fait les images sont toutes captées par le CIO et sa boîte de production – la première fortune du monde n’a qu’à bien se tenir) tu vois que je ne fais pas la fine bouche hein
(bon, là c’est pris du Trocadéro rive droite – la tour Eiffel est située rive gauche comme on sait) chanter chanter chanter
le point important et magnifique c’est que la légende (outre qu’elle importe le format de l’image et sa mis en page…) de l’image est davantage informative sur les droits d’icelle que sur ce qu’elle montre – magnifique (d’ailleurs l’image de la chanteuse est manquée loupée fâcheuse moche ingrate alors qu’il s’agit d’une véritable star) (je reste quant à moi sur la devise de Churchill (qui ne buvait pas que de l’eau et n’a pas, cependant, si bonne réputation que ça) : « no sport ») (et fo les jop)
L|29 & M|30
oublié de faire remonter – ça viendra (c’est fait tiens) – chaleur qui accable (rien de spécial cependant mais les bruits, fermer la radio, fermer le journal) – paille (c’est sans image mais ça viendrasûrement)
toute la nuit à passer sur la route feux clignotants remorques bondées de grains, cinquante à l’heure quinze tonnes – radio à fond – vont faire peser à deux kilomètres mettre en silo au rond-point rien de neuf la fréquence l’importance le grain l’ivraie –
M|31
vous avez des nouvelles de l’atelier ? moi pas
abandonné(e.s) au milieu du gué ? meuh non
image glanée exactement comme je l’imaginais (je ne l’avais jamais vue en photo ou en vrai- je repose la légende sans y toucher) (j’aime beaucoup – au plus près – le fait qu’elle ne porte pas de bague – je ne la pense cependant pas sans alliance)
Léon Herschtritt (Français, 1936 – 2020), Karen Blixen, 1961
Karen Blixen, ex-baronne Karen von Blixen-Finecke du temps de son mariage avec son mari Bror, née Karen Christentze Dinesen (17 avril 1885 à Rungstedlund dans la commune de Hørsholm – 7 septembre 1962 à Rungstedlund) est une femme de lettres danoise qui rédigeait en danois et en anglais et connue sous l’autre pseudonyme d’Isak Dinesen dans les pays anglo-saxons. Elle est célèbre pour avoir écrit La Ferme africaine dont est tiré le film « Out of Africa » : Souvenirs d’Afrique et Anecdotes du destin dont une nouvelle sert de base au film « Le Festin de Babette ». Elle a également publié sous les noms de plume Tania Blixen, Osceola et Pierre Andrézel, pour « Les Voies du châtiment ».
J|1
dans la série les égéries du rédacteur (qui aime les grandes femmes, notamment celles qui abondent au slogan « siamo tutti antifacisti ! ») (mais n’en conserve pas moins au cœur le slogan de Sir WC – bien trouvé, tiens) Paola Egonu (25 piges – magic Paola)
ceci dit, le rédacteur fatigue grâââvement et aimerait vivre en paix, tranquillement sans l’ombre d’un ressentiment – le rédacteur tient en une certaine complaisance vis à vis de la nostalgie mélancolique (ou l’inverse) qui est aussi, on le sait, la marque de sa maladie mentale (névrose sans doute, mais agissante).
V|2
patience patience – une image se charge en quarante cinq secondes sauf si interruption du flux – alors envie de tout foutre en l’air (refaire du café ? non, aller lire) (une des études de cas
font braire avec leurs images (les légendes en revanche : « bouchon (de porte) » ah oui, précision détail diable et tout le bastringue) mieux encore
hein – ça se pose là (le truc rouge, là, est-ce un bouchon ?) (de porte) cependant je me demande (car je n’en ai aucune nouvelle) vraiment ce que deviennent les astronautes/cosmonautes/aéronautes montés jusqu’à la station orbitale internationale (dite ISS) dans l’espoir de redescendre sur terre je suppose – montés là-haut (?) il y six semaines peut-être… (dans un engin affrété par la marque de ce logo-là)
aller de l’avant hein
S|3
ça promet chez sa très gracieuse majesté C3 ces temps-ci (ou quand la pourriture s’exprime, décomplexée – on dispose ici du même genre d’abjects olibrius, certes)
D|4
(un an que cela passe vite un an) (adapté de L’affiche rouge chanson, elle même du poème d’Arangon Louis) je relis ce que je lui écrivais alors mais tout ça ne sert à rien – obituaire sans doute (les gens tombent comme des mouches : mais je n’ai jamais vu de mouche tomber…) (les abeilles nommées mouches par les apiculteurs – et une pensée pour Theo Angelopoulos et Spyros)
encore une affaire de manquée pour mélico (mélico, comme mon ami, est mort) – autre chose ?
Rosa Luxemburg et son herbier – assassinée…
que le monde est (cependant et toujours) joli
(vue automatique : la découverte du continent, vue de l’île)
L|5
je cesse quelques jours – je pars – destination Bahia – meuh non Barfleur tout au plus – quarante achevée – mais rien de trop pour Aldo – silence – je pars
c’est avec horreur et grande tristesse que je m’aperçois ne pas avoir répondu sur le site aux commentaires déposés sous certains (les derniers) des textes de l’atelier – il me semble y avoir réagi par mail : sinon mes excuses – il n’y a pas mort d’homme (ou de femme) mais ça ne me plait pas –
J|8
reprenons – il y a une étude de cas à réaliser – mais n’importe deux images d’actualités
le premier s’est fait foutre à la porte – la seconde devra revenir pour convaincre le suivant d’arrêter le flux qui ne se tarira pas – et puis
qui a annulé ses concerts viennois – la vestiture de grande classe : notre monde – une autre pour la peine
V|9 – S|10
quelque chose s’est cassé – probablement une affaire d’inconscient – je fais tourner Georges Harrison et son Bengladesh (en vrai Bangladesh) – comme je suis un bon camarade posé un discours d’atelier – mais j’y regrette Norma et c’est le cas (comme s’il s’agissait d’une muse) il y aura étude de cas bengali certainement – la pédale d’embrayage reste coincée en bas (la pompe a une fuite – le garage m’a prêté un char d’assaut (le genre véhicule sportif et utilitaire à boite automatique cent dix chevaux on est dedans comme enfermé même fenêtres ouvertes c’est une abomination – un jeu vidéo (auquel il ne sera jamais question de sacrifier – mais seul au volant j’ai fait un tour pensant à n’utiliser qu’un pied et une jambe – fait pour manchot et unijambiste – cette chanson de GB « j’lance la patte et pourquoi le taire / le cul-terreux se r’trouve par terre ») – deux images cependant
n’oublier jamais
publicité gratuite pour cette saloperie de firme menée par un abject personnage (le point de vue de l’image) – les deux qui partaient pour une petite semaine restent bloqués pour huit mois… – à ce niveau de la série noire(comme on aime à dire) il y a plus que des présomptions de ratage (on aura beau changer de président ça restera insuffisant : c’est le système qui foire – en entier, la civilisation capitaliste meurt s’effondre comme disent ceux et celles qui regardent les trains passer – et les médailles obnubilent le bon peuple… (on est en finale!!! on est en finale!!! : on ne croit pas si bien dire…)
D|11
on sacrifie au truc mais seulement pour les filles (« elles me rendent marteau », comme on sait) (genre d’incise qui me vaudra l’incarcération si jamais le pouvoir les prend – et cette autre, perpète) (au mail, minimum syndical désaffecté)
ce que tait la légende, c’est que la Bulgare (en cheveux) et l’Iranienne (qui les cache) sont amies (toutes deux Iraniennes il y a quelques années) et qu’elles s’embrassèrent sur le podium (et je ne tiens même pas l’image : c’est bien dommage, et c’est bien une espèce de limite de ce canard) (de maçon)
add. du jour : taxé au courrier du soir (italien)
qui se marre, une des médailles de bronze (Canadienne, Skylar Park) – taxée au site joueur
légendée (in french):
La finale de taekwondo 57kg femmes s’est déroulée le 08/08/2024 au Grand Palais, à Paris. La médaille d’or est revenue à Kim Yujin (KOR), la médaille d’argent à Nahid Kiyanichandeh (IRI) et les médailles de bronze à Alizadeh Kimia (BUL) et Skylar Park (CAN).
où on découvre (outre la jolie chevelure de la médaillée d’argent) donc qu’en bronze on fut à égalité (?) (la discipline sportive, intitulée taekwondo peut se traduire (indique wiki) « la voie des pieds et des poings » laquelle nous vient, semble-t-il de Corée)
this is the end (et pourtant je n’aime pas les Doors)
Obituaire (non pas que j’aie tellement aimé les films qu’elle produisît (bien aimé Le mystère Von Bullow cependant : pas de pot, c’est pas elle à la production, mais Oliver Stone…) mais une femme aux commandes (c’est le cas de le dire) dans cet univers pourri ca se salue) (elle avait une vraie présence et une belle morale – et puis je faisais de la figuration (coupée au montage…) dans Le femme de l’aviateur vu que le Éric Rohmer en question était un de mes profs – ouvert timide réservé sympathique) (non mais L’ami américain (WimWenders, 1977) figure en bonne place dans mes amours)
salut l’artiste
L|12
(une espèce de flou dans l’âme – perdu quelque chose, de trop important cependant, mais perdu – la maladresse et la folie – l’œil gauche borgne – n’en rien dire de la semaine – oublier oui) (je regardais le dossier (l’un des multiples de ce carnet d’atelier) qui comporte soixante quinze pièces (sauf celles que je taxe) – décidément pas mon monde, non, mais un univers sans doute approprié mien dans ces images – a whiter shade of pale sûrement
image NH
) après les feux de l’or on redescend sur terre – les images les milliards d’images – les corps sportifiés – les cheveux les ongles les humeurs – ici au Bengladesh avant la fuite de l’autocrate
il y a une dizaine d’occurrences, avec Yunnus – ce sera pour plus tard (la constitution du dossier avance avec les menaces des musulmans contre les hindous :passe la frontière, va vers l’Inde où s’est réfugiée l’autocrate et ce sera l’inverse – bienvenue sur terre)
pas mal de propagandes (autocrate va aussi au masculin)
la position de la garde – le regard de la mère comme celui de sa fille – cette horreur incarnée – (sur la suivante pour mémoire en plan américain, bien sûr)
Léo chante Richard
regarder loin derrière la glace du comptoir…
et puis
M|13 (12bis)
bis pour ça
(parfois je me dis que je reviendrai voir ce journal quand je serai vieux) – image sans autre légende mais quoi que (et, évidemment pour la superstition hôtelière)
on en sait un peu plus… (par exemple que ces échanges ont pour objets, dit-on de ce côté-ci du mur, des espion.nes – probablement la raison pour laquelle on nous montrera des enfants)
et puis ce détail
(ou alors mort) tiré de ce global (où on ne voit pas d’alliance)
(le type en question est promis aux affaires étrangères (très atomiques) de la république islamique d’Iran – en fait non) (drôle de mise en page – ce carnet en est un autre) (de drôle je veux dire – qui va directement à Colette Magny sur des paroles du prince Victor) (un matin, se réveillant avec une bombe atomique quelque part (Jérusalem ? Tel-Aviv ? Beyrouth ou Damas ? Le plateau du Golan ?) – ou un soir ?) (brrrr)
M|14
et j’étais toujours sans nouvelle de toi chante Cabrel – ici les 4 chevaux (non pas de la régie)
mais on ne les distingue que peu – au fond le lion ailé sur sa colonne à jamais – une certaine nostalgie de Babylone,je revois cette entrée
pour l’adresse – et les occupants (pas spécialement portés au cœur mien d’ailleurs) (ayant honorés Paris de leur séjour) (mazette)
J|15
une espèce de feuilleton : retour sur Terre vers le 25 février – une héroïne et un héros de l’espace –
il faudra mettre à jour les étiquettes – ça me chagrine de n’y pas voir Karen et Margaret.
Et Gena, ah… taxée chez DCB
quelle beauté… (je me souviens de ce magnifique (magnifique magnifique : l’épisode Los Angelès) Night on Earth (Jim Jarmusch,1991)
V|16
(je m’y perds un peu mais on s’en fout) (OSEF) (ici il devrait y avoir l’image du footballeur aux dents longues – elle sera là tant pis – ici, réunir deux héros du monde – contemporain, moderne, avancé, démocratique – sur une même image c’est une espèce de prouesse
image en date du 22 juin (ça me rappelle ce si beau Une journée particulière (Ettore Scola, 1977) qui se déroulait le 6 mai 1938 et voyait, à Rome, se produire la rencontre de deux autres chantres du bonheur humain) – et toujours personne au 57 Varenne (t’avoueras qu’il y a quelque chose de pourri quand même)
S|17
perte de mémoire
D|18
tentative au mail (souvenir familial – une fiction, une allégorie)
GP dans le rôle d’Achab
(encore une erreur de lieu – je mélange)
L|19
on est enseveli sous les images du bg (friendly wtf front national – l’ordure partagée avec une autre « star » de ces moments-là (elle est de 34) – osef pas mal) on est enseveli aussi sous les images de la future présidente des us – mais là, on en fera une action de groupe (j’en suis à 14 clichés – étude de cas après le retour à Babylone) – tandis que deux images se partagent les pensées de l’auteur-rédacteur-littérateur-atelieriste dont on trouve ici l’un des « carnets » : cette première en date du 16 mars 1978 vers onze heures du matin (il vient d’être enlevé)
puis cette autre, un mois plus tard (17 avril : il se sait condamné à mort)
M|20
sacrifice au poncif (il paraît que le parti va investir sa prêtresse – on n’a pas fini d’en entendre dire : de ce côté-ci du mur, les journalistes les émissions spéciales la propagande c’est vrai, mais la femme se marre (2019)
(pour le genre : lost in translation – perdu dans la traduction) (désolé) je reconnais que ça (la marrade – MDR LOL) ne fait pas tout (2005)
mais ça a le mérite d’exister quand même – après il y a le faire-valoir (c’est à pleurer, sans doute, mais tellement étazunien…) (2024.1)
ils (et elles) nomment cela un ticket (2024.2)
(ici la traduction la repositionne – la resitue si tu préfères) une espèce de foire à un ou deux milliards de dollars – après on déclinera les couleurs : blanc une fois (2024.3)
blanc deux fois (2020)
(on lui saura gré, cependant et malgré tout, de n’avoir pas tiré sur l’ambulance JB46 – cette loyauté qui honore KH47 – ceci est un pronostic) bleu une fois (2024.4)
bleue deux fois (2024.5)
souriante en noir (2019)
sérieuse en beige (2024) ou gris ?
combative en noir (deux fois donc) (2017)
combative encore (en noir toujours – 3) (2020, face au vp de wtf DT45)
ou dubitative (on ne va pas la lui faire, semble-t-il -en noir toujours, 2020)
enfant (quand même) (1967 – retouchée couleurs digitales)
(le traducteur ici carrément en homme – hum) (photographe inconnu.e) – ou alors à peine visible (dans l’ombre de son N+1) (masquée…) (2020 covidesque 1)
ils ont gagné – ici encore et enfin, masquée toujours mais avec son mari first gentleman number one (2020) –
ou à découvert – on est contents d’être là – (image d’avant hier, 18 août 2024 nous dit-on)
tandis qu’ici le minuscule du faubourg fait semblant de réfléchir…
M|21
dans le poste ina Mort à Rome l’affaire Aldo Moro un 52 minutes télé médiocre – bourré de faux usages de faux etc. – mais des visages: ici Licio Gelli vénérable maître de la loge maçonnique Propaganda due –
J|22
suite du feuilleton b (si le mot n’était si galvaudé, on parlerait d’effondrement – disons débâcle – encore que non, réglages seulement sans doute)
dans le registre us (mais comment faire autrement ?) le feuilleton TS
(image datée – 5 concerts londoniens et tournée européenne close) (je me demande où en est le bob – en vacances, prochaine date le 6 septembre) – découverte d’une piétonne ralliant son village (Harsault) à celui de naissance d’Aldo (Maglie, Pouilles) – à pied, avec son âne prénommé Gamin…
V|23
onze heures trente pour débuter – pas de billet plwe mais ça viendra sans doute demain (le carnet prend la place) – la fatigue sans doute mais je me trompe d’adresse -j’en manque très souvent – je suis borgne c’est pour ça – j’avance avec sur ma gauche une étrange vacuité – mais qui n’est étrange que parce qu’on me l’a dit telle – image glanée quelque part, en Corse – on dit que c’est maria Casarès qui appuie sur le déclencheur (à ce propos (de déclencheur, veux-je dire) une certaine antipathie adultérine m’est venue d’elle alors que Orphée l’avait, pour moi, portée aux limbes (et en forme d’élévation supplémentaire son rôle (sans compter le prénom qu’elle porte) dans Les enfants du Paradis en fille du patron du théâtre,incarné par Marcel Pérès, lequel est un formidable deuxième rôle – magnifique – inoubliable) (c’est (aussi) qu’on est vendredi et que le vendredi était pour une part, le jour de parution des Poèmes Express de Lulu deuch’Nord) (à l’image Albert (Camus) et Michel (Gallimard) attablés (devant une mauresque – tels Caro et Ugo) en Corse)
S|24
c’est égal, ça ne sert à rien. Ceci posé, qu’en a-t-on de plus ? Rien. Les messages restent (parfois, certes) lettre morte. Bah.
Mise sous verre de l’image offerte par H. lors de l’envoi du « Et alors Venise ? » à Petra Reski
– mars dernier (l’image de DP) – j’ai déjà des regrets de mars et nous ne sommes même pas en septembre – la seule fois où j’ai aimé septembre fut en soixante-neuf – la sortie de l’usine, du dépôt, la fin du « travail » – la piscine tous les matins, un ou deux kilomètres – retour à pied- avant la rentrée vers la mi-septembre – seize ans…
la reconstitution continue : ici une image (ordinophotogramme du téléfilm merdik Mort à Rome)
de l’hôtel où se réunirent quelques membres de la loge propaganda due le seize mars soixante-dix-huit – pourquoi un hôtel ? pourquoi celui-là? Excelsior, via Veneto, Rome (une reproduction dudit dans le La douce vie ou alors La vie douce ou encore La dolce vita (2F, 1960) lequel se termine avec cette image (regard vers lui, c’est-à-dire moi) (Paola aka Valeria Ciangottini)
D|25
back into this world about february 2025 – merci qui – non mais ça va bien, ils ont bon moral, ils ont l’habitude, on reste sans inquiétude – en revanche boeing (moyen
moyen…)
L|26
recherches Moro : « affaires sensibles » france inter 2021 – invité Mosco Levi Boucault (je pense comme lui – ou lui comme moi) – mention d’une émission où on entend le fils d’Aldo – après quoi l’émission sur mélico (écouter ma propre voix m’est une torture)
c’est sur le métier que je remets l’ouvroir – KH48 (j’anticipe à peine) – ici l’image légendée du canard
et là l’image légendée d’agence
on n’en a guère plus
M|27
« ce sentiment un peu superstitieux que les dieux, après (nous) avoir accordé le bonheur, le regrettent » disait Virginia Woolf (la parenthèse est du rédacteur) – je me disais : que regrettent-ils donc, ces dieux, est-ce le bonheur (qu’ils ont perdu, en nous l’offrant ? mais est-il perdu quand il est offert ?) ou l’accord qu’ils nous en firent ?
(citation de citation prise au La double vie de Virginia Woolf)
cette image que je repose
Agnese et son père à la plage – c’est quand même l’été semble-t-il – si on me demande je dis 1959
La traduction des communiqués est achevée – la relire, corriger, résumer importer – elle correspond à une partie des dates mises à l’agenda du texte – ici une image détendue : il est sept heures du soir, les tracteurs ont cessé leurs vacarmes – il fait doux on rentre – dans le jardin un verre de blanc si le soleil se montre (et sinon aussi)
M|28
cette image
le truc informe aussi en pages intérieures:
L’enquête pour prise illégale d’intérêts visant le PDG de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, classée sans suite
il y pose une image magnifique
comment te dire ? cause ? effet ?
Et puis le sport, cette merveille de l’illusion moderne – deux types de vingt-et-un ans – on ne peut rien en dire (?) mais la justice du pays, aux mains de l’extrême droite, est en passe de passer l’éponge – on serait tenté, devant tant d’hypocrisie de la jeter… – mais non – deux images : la sortie de la résidence surveillée
et la sortie de la résidence surveillée
à la cheville, le bracelet électronique
qu’est-ce que c’est des salauds ?
J|29
une si belle image (pas lu l’article) (la baie de Tunis – les premières brasses, l’eau en pluie, allongés sur le ventre et le sable, souriants)
le (mont) Boukornine, au fond – au premier plan une villa (de renom – mais je n’ai pas lu l’article te dis) – construite sur les plans plus ou moins du Corbu – (squattée par les services secrets)
Martyres et sacrifices ressemblent à l’ordure – n’est-ce pas trop facile ? Je donne ma vie à mon dieu seulement celui-ci n’existe pas – fuck off – je me souviens de ce film, L’incendie (en vrai Incendies (Denis Villeneuve, 2010) qui traitait du sujet
en tous cas, le pdf est en travail : c’est Aldo qui joue – avancer
un article qui m’importe en maison[s]témoin
je change de maison (enfin, de page – révisions : 130)
Merci Piero. Je ne sais pas comment on fait pour écrire en ces jours de tourments. Admiration.
Merci à toi, Ugo – ne baisse pas les bras, steuplé…
merci Piero, je ne sais toujours pas comment on fait pour écrire en ces jours de tourments. Admiration. Fidélité à Churchill.
merci à toi Ugo – et bonne suite (lapidaire) (courage, doucement le matin,et pas trop fort le soir…)
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