nouvelles #lire et écrire # | Piero C-H (avant (et après – 4) coureur)

quatre - pas le cœur à rire (mais Anna oui)

ici le un
puis le deux
puis le trois
faisant plus moins suite au carnet d'atelier entamé je ne sais plus quand (14 novembre 2022) - je regarde je corrige j'annote je lie dès que possible (ecco lo) 

M|6

une femme, mère de deux enfants, trente-deux ans, docteure en littérature française, s’est fait agresser à l’université, elle était en cheveux comme on dit – on lui a lacéré ses vêtements m’a-t-on rapporté – elle est sortie dans la rue en sous vêtements, puis elle a ôté sa culotte – des hommes l’ont forcée la frappant au sang à entrer dans une voiture (blanche) pour la priver des regards du monde – Ahou DaryaeI crois-je lire – bizarrement sur le rézoscio de maçon les posts qui lui sont relatifs, nombreux vers six heures ce matin, ont tous disparu… (sans doute pour flatter ma paranoïa) (puisqu’ils sont revenus engloutis ensuite dans la soute à goudron)

add. du 19 novembre 2024 au soir : il semblerait que cette jeune mère soit rentrée chez .

J|7

DT47 cette honte pour l’humanité toute entière – ce sera tout – RAF

La candidate démocrate à la présidence, la vice-présidente américaine Kamala Harris, lors du rassemblement de clôture de sa campagne, à Philadelphie (Pennsylvanie), le 5 novembre 2024. KENT NISHIMURA / AFP (fo cette légende de maçon)

V|8

salut l’artiste

(continûment cependant) : ici Licio Gelli (Vénérable de la loge maçonnique Propaganda 2) (crevé vers 96 ans en sa demeure intitulée Wanda, Toscane – non mais ça va pour la pourriture, ça se traîne sur terre un bon moment)

En 1985. ©FARABOLA/LEEMAGE

une autre du même, pour la route ?

(anthropomorphique : il a plus une tête de facho, ce qu’il était complètement)

S|9

pour se servir le café, attend-on que le bruit cesse, ou est-ce autrement qu’on procède (ainsi qu’Haddock et sa barbe) ? existentialisme…
en vrai j’attends et je me sers

je suis content de cette image

qui illustre parfaitement le propos présent : le crédit d’impôt compétitivité emploi (qu’en termes galants hein) accordé à auchan il n’y a de ça que quelques années se montait à un milliard pour débaucher aujourd’hui quelque deux mille quatre cents prolétaires (on mélange, on accommode et on sert : merci qui, merci on a voté pour lui alias fo jésuite saint-ho)
remarque : les mails (institutionnels ou pas) se taisent pendant le week-end

j’aime aussi beaucoup celle-là

je cherche un texte sur la rue que j’avais écrit pour D-fiction il y a quinze ans
je mets ça pour détendre l’atmosphère (assez puante hein – le 14 du mois sera le lendemain du treize (comme de juste – et comme à chaque fois) – stade de france neuf ans plus tôt) ici du 18 juin 2009 : il y a de ça une (toute petite) éternité

Qu’est-ce que c’est ?


Voilà comment tout cela se passe : on arrive : « Ah tiens, bonjour, content de te voir », on regarde, sur la table quelques bouteilles de chardonnay, on attend on patiente on boit un verre on engage la conversation, parfois un ami « Ah te voilà, on devait se voir justement », ou « Vous vous connaissez ?, ben oui, on s’est vus la dernière fois…») et puis l’auteur est là (cette fois, Claro, traducteur d’un roman de 600 sonnets en vers, qu’il a fait passer d’octosyllabes à des alexandrins :  Vikram Seth, « Goldcen Gate » chez Grasset), il prend la parole, le libraire l’interroge, on parle, on interrompt, des lecteurs, des amis, d’autres passent, parfois, et puis d’autres fois ce sont des chanteurs, des amis les enregistrent ou les filment, ça se retrouvera sur Youtube ou ailleurs, ce soir, ou d’autres qui viennent, parlent, nous sommes une vingtaine ici, ailleurs, on peut être une centaine, et puis, on ouvre les bouteilles ou les petits paquets de chips, quelque chose, on parle, on se reconnaît, on discute : de quoi ? du livre, d’un livre, de la librairie, des libraires, du monde (« elle a pris huit ans et demi… », « qui ça ? », « celle qui a buté le banquier… », «  le type en latex, là ? »…), du temps qui passe, qu’il fait, de la politique, d’autres choses, on s’en fout de savoir qu’on est en train de créer du « lien social », ce qui compte c’est qu’on en parle, voilà. De quoi ? Oui, de quoi… 
Ce que c’est ?  Une soirée à la librairie Pensées Classées, Paris 4°.

D|10

j’ai retrouvé le texte sur la rue nommé Aux trois quartiers (ampoulé de réalités sociologiques – mais pas lu entièrement pour voir s’il y a à prendre) (à ce propos le feuille de route journal de Titi Beinstingel j’adore)

L|11

(sur la planche (pense-bête) : essai billet akerman; photo de famille; Sciascia et Aldo; Wuming à lire; en attente CT&HB; qu’est-ce qui est le plus humiliant être suivi ou suivre)
essaye encore me dis-je

image en date : la fin de la grève chez boeing (débutée le 13 septembre)(l’ordure n’est pas encore élue) – tout va mal : plus de légende, on va abandonner ce mode opératoire (les rédiger n’apporte rien sinon une référence inutile – dans quelques années peut-être)

essaye encore me dis-je

sa sainteté françois un – en ombre chinoise – le blanc mais pas l’or – visite je ne sais plus bien où

essaye à nouveau

les parents de Marielle Franco : les deux policiers qui l’ont tuée condamnés (les mœurs de bolsonaro l’ami de fucking dp47) – une des égéries –


une dernière : un peu de techno-science

la concurrence européenne des deux ou trois mille satellites mis en place par l’homme le plus riche du monde – je cesse

j’ai cherché longtemps à comprendre l’exacte portée (qu’est-ce que cette histoire peut bien vouloir dire?) de La Chartreuse de Parme sans jamais y parvenir – Fabrice à Waterloo et la Sanseverina derrière ses moucharrabieh – mais je n’ai eu aucune difficulté à comprendre celle de Lucien Leuwen

quelque chose comme un rêve : cette image de Faye Dunaway dans Portrait d’une enfant déchue (Jerry Schatzberg, 1970) et de l’humiliation subie par cette héroïne – le souvenir: ici l’image prise

et là, celle publiée (je ne suis même pas certain de l’oreille de l’enfant déchue)

photo-montage découpage artisanal maison

M|12

(c’est probablement dans Little big man (Arthur Penn, 1970) puis dans L’arrangement (Elia Kazan, 1969) que j’ai découvert mon penchant pour Faye (ensuite, peut-être Bonnie and Clyde (encore Arthur Penn, 1967) (ça a dû cesser avec Network (Sydney Lumet,1976) mon côté puritain probablement – bizarre comme cette chronologie rétroactive (du verbe rétroactiver) (l’attirance libidinale n’est pourtant pas absente du tout : quelque chose avec la mère, dans LBM je suppose) – le cinéma américain (lu un article datant de 2010 (c’est sans relation, sinon de cinéma) (donc c’est en relation) (le lundi était un jour – un peu comme le jeudi parfois – ou à d’autres moments le vendredi – où je commentais les poèmes-express de Lulu deuch’nord : parfois ça revient comme ce mardi) traitant de JLG et la question juive qui vaut son pesant de pellicules ou plutôt de cassettes vidéos) – à la même époque (je suis très années 70 – et plus précisément 1978) Marathon Man (mais je ne suis pas certain de l’avoir vu celui-là – mais Dustin Hoffmann, oui) (John Schlesinger,1976) et aussi Macadam Cowboy (John Schlesinger, 1969) – cinéma us certes – se documenter sur le cinéma.
Je retrouve le linéament de cette pensée : les images du jour précédent posées dans le journal du jour (alors que je n’accepte d’ordinaire pas les redites) qui vont de Faye Dunaway à Dustin Hoffmann à Macadam C. donc qui est l’ambiance dans laquelle Chantal Akerman évoluait alors dans la vraie vie (dl2v)

M|13

le fascisme est donc passé aux États (probablement, espérons-le) pas pour longtemps – la radio se gargarise de la création d’un ministère pour l’ignoble (ce n’est pas un ministère mais un cancer implanté par décret sans aval des chambres pour la juridiction fédérale) – la « plus grande démocratie » du monde va dans le mur (et comme ces gens-là sont armés la guerre civile n’est pas loin)
j’aime assez Jacques Brel (pas trop cependant, sans doute parce qu’il se la pétait grave) (je suppose je ne le connaissais pas) (d’ailleurs connaître les gens dl2v les fait apparaître plus quoi au fait ? on s’en méfie moins que de leurs fantômes ?) en tout cas, je ne sais (comme lui dans cette file d’attente des armées) ce qui est le plus humiliant : suivre ou être suivi (sans doute la raison de ce secret à (très) bas bruit de journal)

J|14

desenganado chante Amalia (Com que voz) (avec quelle voix) il y a des mots de ce genre qui m’enchantent (nunca par exemple aussi) image volée (mais réalisée sur le faubourg mien) (appropriation dominatrice, certes)

c’était hier – (on ne sait jamais chante Aznav) – on a quelques sentiments d’horreur, même si Sergio Matarella proteste (la guerre civile n’est pas loin, et la secession revient) (nous ne armerons pas d’autre chose que de notre liberté) – image de 1962 (le regard du type en bas droite cadre) (tati prit la place du Paris Barbès et tati est fermé)

tout à l’heure au stade, il y aura (m’a dit radio paris) un poulet pour 5 spectateurices

V|15

c’est l’heure du café – addiction peut-être (un pli, un versant, une tendance une maladie une volonté un fantasme un piège – le tabac, l’alcool, le jeu, la came, la dope, l’amour : le manque) (chanson d’illustration) (Angèle (Van Laeken) une de mes égéries) les trois cailloux sont (aussi) une rue (mais savoir ce que c’était… il semble qu’il s’agisse du nom de famille de trois frères (les Cailleu) qui possédaient là une propriété importante) (osef) une image (du côté d’Auxerre)

puis une autre (avec trois trucs – pas des cailloux) (roulez au pas intime le graf – cyclistes : pied à terre disait un autre)

souvent ça me désespère (je vais prendre un café) (une façon de voir les choses : junk dans le dialecte dominant veut dire ordure – ce matin, c’est Modern love qui tourne (la fin du film Frances Ha (Noah Baumbach & Greta Gerwig, 2012) (laquelle présidait le jury de Cannes cette année – le cinéma us, cette plaie) – je n’aime guère bowie cependant (mon côté puritain je suppose – pourtant il n’est que gb et non point us) – les ricains disait l’immonde chanteur décoré (ce qu’on reproche à ce genre de type, c’est de nous donner des envies de meurtres – l’humanité, notre humanité s’en trouve avilie) (dans le film Santosh (Sandhya Suri 2024) l’héroïne se laisse aller à la torture d’un type qui n’y est pour rien – puis il meurt – et quand même il y serait pour quelque chose, l’indignité est là – la gégène du junk borgne, père de la bientôt (j’ose l’espérer) inéligible pourriture) – se garder de ces idées abjectes, s’en garder mais s’en défendre – se défendre… (puisque que vous partez en voyage par le poète – chanson de jaboune et mireille je crois bien)

magnifique mail du matin (sic) :

Bonjour,
Je vois votre site web www.pendantleweekend.net   et c'est impressionnant. Je me demande si des options publicitaires telles que la publication d'invités, le contenu publicitaire sont disponibles sur votre site ?
Quel est le prix si nous voulons faire de la publicité sur votre site ?
À votre santé
Mary om

(à votre santé, c’est du propre)

impressionnant.

image de stock (légendée : Le dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un, inspecte le quartier général du 2ᵉ corps de l’armée nord-coréenne, le 17 octobre 2024, sur cette photo publiée par l’agence de presse officielle KCNA. KCNA / REUTERS)

je me souviens de Londres sous les v2

S|16

hier était dry contrairement aux autres quinze – le Ovni 78 tient ses promesses (foison ou pléthore ? non foison de renseignements (in)utiles : par exemple le petit crachin du 17 mars) – le recours des dictatures : faire cesser le scandale de l’éducation et de la recherche – (voir ici) – le décollement du prof d’histoire-géo est du même tremplin (ce monde est une saloperie) – image de la représentation à plier et foutre au placard

Un partisan du président tunisien Kais Saied tient son image alors qu’il se tient sous un immense drapeau national, lors d’un rassemblement le long de l’avenue Habib Bourguiba à Tunis, le 25 juillet 2024, alors que la nation célèbre le 67e anniversaire de la fondation de la république. (Photo de FETHI BELAID / AFP)

deux trémas manquants – légende cependant (image datant de l' »élection » de l’autocrate)
j’entame ici une liste des expressions ou simplement mot dont le monde contemporain abuse et qui entretiennent sa vulgarité ontologique (pourquoi tenir la comptabilité de l’exécrable ?)

daron/daronne
voilà
(en début de réponse à la question du passe-plat) alors
tiens-moi au jus
trop trop trop 
du coup du coût du cou
pour le coût pour le cou pour le coup 
ça me fout les poils
genre - en mode - du coup
un truk deouf - demalade - deguedin
jlecroipa
tumens
jélarèf jépalarèf
javoue
pad'soussi
clairement
on s'en fout (osef)
on va pas s'mentir
que du bonheur (hasbine)
àlabase en gros au final  

   

D|17

j’ai dû m’arrêter un moment et perdre les codes des résultats de l’IRM/AIT (la peur de Proust – le nom du médecin – qui un jour disait écartant les mains « inopérable, une boule de billard… » – je m’en souviens comme d’hier – au téléphone avec apap le soignant se plaignant du retard du patient « mais monsieur vous avez un CANCER » comme si ça avait de l’importance) – le rêve cette nuit était en vert éclairage boite de nuit probablement assez libidinale (type Anora (Sean Baker,2024))
un glossaire index onomastique des noms propres en préparation du Prisonnière à Téhéran (Fariba Adelkhah, seuil 2024) (sincère honnête et drôle) (pour ici – quelque chose de velléitaire)
un peu de douceur dans ce monde de brutes

M|18

un peu déphasé comme tu vois – c’est à cause des images et des légendes qui ne veulent plus rien dire – tant pis je pose quand même: le fog

New-Dehli je crois me souvenir – en vrai non : La pollution à Lahore, au Pakistan, le 18 novembre 2024. ARIF ALI/AFP dit la légende – réfléchir c’est choisir – un dégoût assez prononcé sur les pratiques d’écrivain du prix goncourt : la plaignante est-elle instrumentalisée par le pouvoir ? tous les coups, aussi tordus soient-ils, sont permis – fumées, feux, écœurement en tous les cas –

L|17&

comme je me disperse sans doute pour ne pas avoir à écrire (que ce soit le nouvel atelier – j’ai quand même ressorti le mode d’emploi de la vie hachette 1978/livre de poche 1995) je lis des chroniques sur JLG maître après dieu du cinéma de nouvelle vague – par exemple (je cite presque) « israël c’est six millions de kamikazes » (un article que je ne retrouve plus dû il me semble Jean-Luc Douin informe de ces pérégrinations du dieu du cinéma – on connaît l’effet Koulechov, lui aussi vu que le montage est une affaire de morale, comme les travellings) – retrouvé :

Dans un roman intitulé Courts-circuits, récemment édité au Cherche Midi, Alain Fleischer raconte qu'en aparté, lors d'une pause, Jean-Luc Godard aurait lâché cette phrase monstrueuse à son ami et interlocuteur Jean Narboni, ex-rédacteur en chef des Cahiers du cinéma : "Les attentats-suicides des Palestiniens pour parvenir à faire exister un Etat palestinien ressemblent en fin de compte à ce que firent les juifs en se laissant conduire comme des moutons et exterminer dans les chambres à gaz, se sacrifiant ainsi pour parvenir à faire exister l'Etat d'Israël." 

et puis (l’article date de 2010)

Décrivant la Bible comme un "texte trop totalitaire", il a déjà lâché à propos de ces juifs qui, selon lui, auraient sauvé Israël en mourant dans les camps : "Au fond, il y a eu six millions de kamikazes."

édifiant.
C’est pourtant peu de choses mais j’ai été notablement refroidi par le wtf mail de l’agente du photographe de plateau de Golden Eighties (Chantal Akerman, 1986) – peu d’allant pour les billets de cinéma – peu d’allant en général remarque aussi

M|20

la place des femmes chez les fantoches

(on ne voit pas non plus Lula sur l’image – mais il est juste au milieu, allons) – encore qu’on la retire à un moment et qu’on pose derrière – vous faites ce qu’on vous dit –

et puis la réaction des hommes (de cinéma) de pouvoir ( confère d. boutonnat et son amitié/proximité avec le jésuite de saint-ho : doillon qui porte plainte – pauvre chou)

(la une du journal)

J|21

rien d’autre (Kianoush Sanjari s’est donné la mort, en Iran, en l’honneur des prisonniers politiques de ce pays – un geste qui va à la vie, et non à la mort) – rien d’autre…

(ne jamais désespérer Billancourt tu te souviens ? – il faut cesser de rester sous le signe de la mort – Aldo s’apparente à un suicidé : il ne fait rien contre le bougre abandonné des siens et du représentant de son dieu sur cette misérable planète) ici une image de ce qu’elle voit (vers 16h47) de sa fenêtre (encore merci)

sans doute faut-il savoir choisir ses ami.es (je n’ai jamais choisi – si pourtant je me souviens Neil Young et AT. Montreuil les prunes de Noisy (en fait non,Rosny) – ici une image (brouillée) de ce qu’elle voit de sa fenêtre (vers quelle heure, ça ne se sait pas) (ah non ça ne passe pas) (ah si)

V|22

cet atelier d’hiver – qui débute aux deux-tiers de l’automne – et cette désespérance (du temps qui file, du froid qui pèle, des yeux qui piquent, les tas de livres à lire, les titres des films à voir, les gens) – aller, réussir à s’en sortir (les doigts qui grincent les genoux qui crispent le dos la rouille) – il y avait la photo en bas de Jourdain (ce n’est pas que je m’en tamponne mais ça m’est égal) (années soixante)

ces jours-ci-plus ou moins

les images troublent – j’avance je n’avance pas – des doutes toujours – et puis ça

S|23

vue de loin (demain quinze lustres)

parfois le manque est si grand qu’on voudrait en finir – et puis non – l’orgueil si velléitaire – non, une musique un livre un.e ami.e – on cesse (ni drogue – médik alcool autres – ni jeu – accro à quoi alors ? dépendance internet rézosocio – faire attention à ne pas tomber, lacer ses chaussures, regarder devant soi, nettoyer ses lunettes – préférer le bus)

D|24

ces images-là

la solitude du surfeur

celle du cycliste

du type qui promène son clebs – on les voit à peine (bande son : Gloria Gaynor I will survive)

L|25

ce soir on ira écouter Fariba – puis au théâtre sans doute – suite de journal sans doute aussi – portrait (écho sans doute marketté quelque part – Niki (la famille,la banque etc.))

puis anciennement les halles (il en fut donc une dizaine)

j’aurais aimé connaître ce truc (la chanson d’Aragon Robert le Diable qui en parle – l’église, la poste, la rue Saint-Denis : est-ce folklore ?) (un soir de soixante-treize -première année parisienne – on allait manger une soupe à l’oignon vers cinq du) – travail à la table pour le séminaire Berlin symphonie d’une grande ville (ici pour les propositions de l’algorithme) (pas percuté que les halles étaient là : le ventre de paris)

A propos de Piero Cohen-Hadria

(c'est plus facile avec les liens) la bio ça peut-être là : https://www.tierslivre.net/revue/spip.php?article625#nb10 et le site plutôt là : https://www.pendantleweekend.net/ les (*) réfèrent à des entrées (ou étiquettes) du blog pendant le week-end

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