Au temps des cerises, fauchés comme les blés, tout tournait en eau de boudin ; les carottes étaient cuites. Je nageais dans le chocolat malgré qu’on me presse comme un citron. J’avais la tête comme une citrouille, mais peut-être que quelqu’un m’avait roulé dans la farine, j’en faisais tout un fromage. Il fallait que la mayonnaise prenne : hors de question de manger dans la main de quelqu’un.