Eau des mers, eau des océans, d’un bleu plus ou moins turquoise, plus ou moins profond, dans laquelle j’ai si souvent rêvé de pouvoir m’immerger, sans la nécessité d’oxygène à devoir rechercher.
M’enivrer de ton calme, de ta sérenité, affranchie de toute temporalité, où mon corps jouirait d’une totale liberté de se mouvoir jusqu’ici jamais éprouvée.
Remonter à l’air libre ne me permettrait que de m’enivrer, de ta surface mouvante avec le ciel dessiné.
« surface mouvante avec le ciel dessiné » : on ne sait plus qui dessine l’autre dans une sorte de renversement, ça me touche
Merci pour cette message. C’est intéressant de lire comment certains passages peuvent être perçus, l’effet que cela peut produire.
Ah oui ! cette « surface mouvante avec le ciel dessiné » c’est une très belle trouvaille. On flotte dans une mer sans limite et sans heurt, sur la ligne d’horizon où tu nous emmènes.