des fois suis MOBILE simplement MOBILE d’autres fois suis MOBILE encore mais extrêmement c’est circuler alors intensément dans monde vivant et non vivant toujours MOBILE quant à lui extrêmement jamais en repos tant monde intense est quant à lui toujours MOBILE extrêmement jamais en repos et toutes les choses vivantes et non vivantes du monde MOBILE extrêmement jamais en repos sont quant à elles aussi toujours vivantes jamais en repos vivant intensément quant à elles perpétuellement dans le MOBILE extrêmement MOBILE et rien qu’en lui se complaisant en lui et rien qu’en lui rien qu’en MOBILE extrêmement MOBILE comme si choses vivantes ou non vivantes vivant dans monde MOBILE extrêmement MOBILE jamais en repos ne chutaient pas quant à elles dans monde MOBILE simplement MOBILE vivant alors quant à elles perpétuellement dans monde MOBILE extrêmement MOBILE comme si monde MOBILE simplement MOBILE n’existait pas ou bien n’était que vue de l’esprit comme si vivre MOBILE simplement MOBILE ou vivre MOBILE extrêmement MOBILE était vue de l’esprit et rien d’autre comme si dans esprit il fallait faire le tri ne pas confondre vivre MOBILE simplement MOBILE et vivre MOBILE intensément MOBILE non qu’il y aurait deux mondes l’un MOBILE simplement MOBILE et l’autre MOBILE mais extrêmement et jamais en repos comme si la sensation de vivre des fois MOBILE simplement MOBILE et des fois MOBILE mais extrêmement et jamais en repos ne dépendait ni du monde ni des choses circulaires circulant dans le monde MOBILE extrêmement MOBILE et circulaire mais du fait que dans vue de l’esprit je fais ou ne fais pas le tri m’arrivant personnellement trop souvent de ne pas faire le tri de confondre en raison de vue de l’esprit le MOBILE simplement MOBILE et le MOBILE extrêmement MOBILE jamais en repos prenant personnellement des fois l’autobus ou poussant le caddie en pensant vivre MOBILE extrêmement MOBILE jamais en repos ou levant un pied à la campagne ou faisant le tour d’un pâté de maison en pensant vivre MOBILE extrêmement MOBILE et sans repos alors que rien ou être MOBILE simplement MOBILE être MOBILE simplement MOBILE n’étant rien ou vieillir alors que d’évidence pourtant yeux miens ne sont plus dans ma tête et mains miennes ne sont plus au bout de mes bras mais ne remarquant rien d’abord en raison d’esprit mien confondant MOBILE et MOBILE MOBILE simplement MOBILE et MOBILE extrêmement MOBILE jamais en repos alors que d’évidence ça n’ondule pas du cuir pourtant ou ne rajeunit rien alors que d’évidence je sais que si en moi la détestable envie de pleurer c’est MOBILE simplement MOBILE je sais que si aucun œil gras à la surface du lait c’est MOBILE simplement MOBILE je sais que si choses arrivent dans monde sans bruit dans mon dos c’est MOBILE sans aucun doute MOBILE simplement MOBILE comme si l’expérience le fait de vivre des fois intensément dans monde MOBILE extrêmement MOBILE jamais en repos et dans choses du monde MOBILE extrêmement MOBILE jamais en repos n’aidait pas comme si l’expérience du monde MOBILE extrêmement MOBILE n’agrandissait pas ou n’empêchait pas de vivre des fois intensément mais dans monde MOBILE simplement MOBILE plutôt que dans monde MOBILE extrêmement MOBILE ou vivre en chien sans flamme ou vivre inenflammé parmi les pommes de terre vivant intensément quant à elles dans monde MOBILE mais extrêmement alors ou devant grille-pain extrêmement MOBILE n’arrivant jamais au monde quant à lui sans bruit ou sans fracas je pense
J’aime beaucoup, c’est léger et profond en même temps, comme votre vidéo : « où on se demande si porter telles ou telles chaussures influe nos frictions avec le monde »
Comment je vais m’arranger avec ça
Hé ! Merci de ce retour, Etien ! J’essaie toujours qu’il y ait plusieurs couches, que cela soit à la fois ceci et cela ! N’y arrive pas toujours : du coup : super bien d’avoir votre retour ! Merci et belle journée à vous !
ah ben oui, une vraie tranche napolitaine et qui met en mouvement… Ohlala que c’est bien et bon…
thanks, Cat !
« je sais que si choses arrivent dans monde sans bruit dans mon dos » , comme pour « quelqu’un » ce matin, lecture totalement angoissante et drôle, sans MOBILE apparent mais si présent, si envahissant… frontière du grotesque et du tragique, jamais en repos