#chantier Miscellanées rhodaniennes

Voilà mon chantier cyclo-viatique de lecteur/copiste/anthologiste. Il est lointainement dérivé de l’atelier, en organisant et fragmentant un amas de récits de voyages sous forme de miscellanées/abécédaire.

Des extraits/entrées sur mon site : https://velotextes.fr/spip.php?rubrique38

Retours bienvenus sur le fond ou la forme (notamment les titres renvoient à des extraits, mais je ne sais pas si les guillemets suffisent à rendre cela explicite).


A propos de Laurent V.

J'avais participé avec plaisir et découvertes à des ateliers d'écriture "papier-table-stylo" au tout début des années 2000, j'en avais animé aussi alors étudiant shs, ensuite j'ai surtout fait du vélo dans la ville comme travail, et en dehors en vacances, tout en continuant un peu à lire, notamment grâce au numérique ! Présence web : un compte insta renvilo , et un site pour rendre disponibles des vieux textes des premiers cyclotouristes : velotextes .

2 commentaires à propos de “#chantier Miscellanées rhodaniennes”

  1. Très intéressante démarche, bravo. Malheureusement je ne peux pas lire 500 pages hu hu hu. J’ai quand même regardé l’introduction et la partie de Saint-Étienne, vu que j’y habite. Très étonné d’apprendre que la ville devenait un centre touristique à l’époque, heureusement ça ne s’est pas produit : ça aurait été une pollution pire que le charbon. C’est super ce travail de relevé transversal sur un thème, le vélo donc. Et puis Paul de Vivie était donc quelqu’un qui écrivait régulièrement ? un peu comme on essaie de faire avec les blogs ? C’est vrai qu’il avait une conception du « tourisme » ( ? ) qui malheureusement n’a pas du tout continué.
    Bravo et merci en tous cas.

  2. Merci du retour. Oui, il écrivait régulièrement, il versifiait dans sa jeunesse (un cahier est conservé aux archives départementales de la loire), puis la vélocipédie lui a permis de conter ses récits d’excursions et de satisfaire son goût pour l’écriture. Il a édité son journal de 1887 à sa mort en 1930, en le nourrissant largement de sa plume. Aujourd’hui, il aurait probablement fait des vidéos youtube (peut-être des dailys obs), un site/blog, et des traces gpx. En parlant de Saint-Étienne centre de tourisme il exagérait sûrement un peu, mais pour les quelques dizaines de cyclotouristes qu’il devait y avoir à l’époque, Saint-Étienne était idéalement placé pour atteindre tous les massifs ou la mer, et des cyclos (parisiens par ex.) passaient par Saint-Étienne (la RN82) et s’arrêtaient à son atelier. Cette forme de tourisme n’a jamais vraiment complètement disparu (sa revue a duré jusqu’en 1973), et a comme un regain depuis les années 2000, avec aussi moult blogs et récits, livres, souvent auto-édités.