La marée je l’ai dans le cœur,
qui me remonte comme un signe.
La remontée du canal, hier.
Le pont s’élève doucement pour laisser passer les marins d’eau douce
un bateau de Decbel, une marine de Le Gray
J’ai un bateau, demain je t’emmène
lac d’Annecy, lac du Bourget,
une couverture de disque de Bashung
Jacques Benveniste
une traversée vers les iles Scilly. Loin
les immenses vagues de la méditerranée
l’éblouissement à Cherchell, Camus à Tipaza
le canoé retourné dans la Loue glacée
l’enfance, l’adolescence dans la mer
Aujourd’hui, eau, je te vois du dehors
François Bon dans 12 juin 2021 à 11 h 37 min a dit :Modifier
un peu dommage, pour l’homogénéité de la lecture, de ne pas respecter la consigne, mais on a le temps, c’est juste le prologue !
la question du « bloc », explicitement posée dans la proposition, n’est pas seulement une question de présentation, mais rien de grave, disons que ces éléments formels seront importants quand on partira dans le narratif et la prose
J’aime cette déambulation liquide.
Serais-tu le Dudoignon qui gérait la photothèque du ministère de l’agriculture, il y a qq lustres ? (la marine de Le Gray !)
Je rentre de chez Christiane et on a parlé de lui… de toi ?