L’homme au chien noir
L’homme au chien passait souvent entre vingt heures et vingt et une heures, l’heure où les habitants avaient jeté leur sac-poubelle du jour, avant que le film de vingt heures trente ne commence. L’homme au chien noir, une silhouette aux cheveux noirs et gris, habillé d’un manteau noir, d’un pantalon gris sale fouillait dans les conteneurs gris aux couvercles oranges, il ouvrait les sacs à la recherche de nourriture ou d’objets à récupérer, et il stockait le fruit de sa récolte au fur et mesure dans des sacs plastiques qu’il déposait à ses pieds pour avoir les mains libres lors de sa fouille. Le chien, une sorte de bas-rouge, impatient, fourrait quelquefois son museau dans un des sacs à la recherche de nourriture qu’il dévorait aussi tôt. Le maître qui constatait le vol, lui donnait alors des coups de pied et on entendait le chien gémir dans le silence.
bon ne vais pas choisir son cousin… ne saurait aussi présent. (d’ailleurs en fait ce n’est pas à lui que pense depuis her soir, qui est écrit dans ma tête, reste à trouver temps de me battre avec mes mains, mas ça aurait pu être). merci de les dire avec telle poésie lui et le chien
déjà le titre pour rêver et la simplicité des mots juste une évidence. Leur présence