C’est un texte qui prendra place à la fin. Forcément. Obligatoirement. On ne peut pas l’écrire ici et maintenant, au début je veux dire. À cause de sa fonction de vue d’ensemble de tous ces personnages qui seraient séparés et non pas rassemblés. Rassemblés à un bal par exemple, comme je l’avais envisagé et même peut-être déjà écrit, ce texte qui ne me laisse pour seul souvenir que la rudesse de la tâche que je m’étais assignée, les faire évoluer ensemble à un bal que Ben aurait organisé. Parce que jusqu’à lui, cet événement, ce bal donc, chaque personnage avait évolué dans son compartiment, bien séparé des autres, derrière le mur sur lequel était accrochée la plaque avec son nom en toutes lettres, tandis que souvent lui-même n’en portait pas (ou plutôt la lectrice, le lecteur ou moi-même n’en avions pas connaissance), à part quelques-uns comme Ben, Julie, Cécile ou Bruno. Mon texte #1 existait déjà. Il était audible sur mes trente vidéos YouTube. Mais peut-être était-ce une bonne idée pour clore le projet d’écrire un nouveau texte avec une seule phrase – non pas mes phrases dont on ne savait jamais où arriverait le point et quand on pourrait reprendre de l’air et donc il faudrait préciser une phrase d’une ligne ou trois grand maximum – une seule phrase pour chacun d’eux décrivant ce qu’il faisait au même moment, soit le mardi 25 novembre 2025. Comme s’éloigne la caméra et ainsi on leur rendrait la liberté suprême, celle de vivre dans l’intimité et l’anonymat de la page qui n’existait pas, la blanche qui suit celle avec le mot fin, tout imbibée d’abandon.
Texte à venir...
Superbe projet !
Pour le Bal final, je te fais une suggestion : https://www.youtube.com/watch?v=SgU9JqFaGeM&t=37s. J’ai aussi pensé à Marguerite Duras, mais ce serait trop mélancolique.
INDIA SONG …https://www.youtube.com/watch?v=w_lUCSETU3M
Oh, merci, inspirant… « Tout le m onde devrait crier, c’est une façon de parler, vous ne trouvez pas ? »
Je découvre et j’aime cette ouverture projection et retour . Bal . Le bal…