Cette fin d’après-midi ajouter le seizième texte, et prendre le temps de lire les quinze autres, finalement seize autres car entre-temps un nouveau est venu grossir le flux, c’est du temps oui, mais aussi une richesse dingue de comprendre comment chacune chacun a déroulé le rapport à l’argent de son, ses personnages, aucun des 17 textes, le mien inclus ne se ressemble…aucun n’a découpé les formes de la chose ni avec les mêmes ciseaux cranteurs, ni avec le même papier ni avec le même pliage, chacun de ces textes, ce qu’il fait aux mots pourrait devenir une forme nouvelle à explorer, c’est ça qui me plait ce soir, à vous lire tous et toutes,
Cette fin d’après-midi ajouter le seizième texte, et prendre le temps de commenter les quinze autres, finalement seize autres car entre-temps un nouveau est venu grossir le flux, c’est du temps oui, mais aussi une richesse dingue de se laisser submerger par ce que me fait la lecture, tenter de sentir où se situe ce qui m’accroche, et à chaque fois trouver à exprimer ce « truc », est le rythme ? La construction ? La sensibilité ? L’évolution du personnage ? C’est une chose dont on a parlé souvent ces commentaires, à faire ou pas, à tous ou pas, intimidants ou pas, ici ce que j’en retire est de mieux lire et reprendre mes propres textes. Il faut pour écrire au long court mettre au clair mille choses, et ces commentaires posés là en font parti, lire votre rythme, vos constructions, vos sensibilités, vos personnages qui se transforment, m’aidera à prendre soin du rythme, la construction, la sensibilité, l’évolution d’un personnage, bref à écrire. Alors encore merci de ce collectif, et de cette confiance à confier.
Merci, Catherine, pour ce beau texte !
intéressant, on attendra ton prochain texte pour percevoir ce qui justement t’accroche, si tu t’efforces de l’approcher et de le décrire
Hello Marion,
Je crois comprendre à la deuxième explication ce dont tu parles, il y a moyen déjà d’accéder à tous les commentaires par le tableau de bord et de trier, un travail de chenille patiente mais possible de suivre des fils,
oulà non, je ne poursuis pas les commentaires des uns et des autres pour reconstituer le fil qu’ils sont amenés à tirer ou tisser, je trouve intéressant qu’ils en présentent plutôt le canevas justement dans cet espace prévu pour.
Merci Catherine pour la mise en abyme. Et pour relever l’essence de ce qui fait, pour moi en tout cas, le plaisir de cet atelier.
« Confiance à confier »
Il s’agit bien de cela, bien d’accord avec toi Catherine.
Et nous dire et nous lire par les mots-clés qui nous lient aussi.
Merci Catherine, l’image des ciseaux cranteurs ou des plis propres à chaque écriture me parle beaucoup.