Je t’aime comme de l’eau
Je t’aime comme de Kafka à Kafka
Je t’aime comme l’écriture comme un couteau
Ôter les masques
Y penser toujours
— « Je t’aime comme mouillette d’œuf coque et d’enfance, ou
l’omelette de petite adulte dans son studio. » page 33
Merci Milène Tournier pour Je t’aime comme et Sébastien Bailly pour la proposition d’écriture et le tirage au sort.
— « Le mot agit, non pas comme une force idéale, mais comme une puissance obscure, comme une incantation qui contraint les choses, les rend réellement présentes hors d’elles-mêmes ». page 42
— « écrire ce serait se mettre de côté, se tenir un peu en retrait, observer et – surtout – garder un optimisme volontaire. Se dire qu’une chose naîtra, même si l’on n’en a pas une vision très précise. » page 115
Merci François pour ce nouveau cycle, pour De Kafka à Kafka de Maurice Blanchot et Ôter les masques d’Eric Pessan.
— « Découvrir quelque chose qui n’est pas là avant l’écriture. C’est là la jouissance – et l’effroi – de l’écriture, ne pas savoir ce qu’elle fait arriver, advenir. » page 136
Merci Christiane Deligny et Dominique Estampes-Paillard pour L’Écriture comme un couteau d’Annie Ernaux.
— « car elle gît là aussi l’âme intranquille du garçon
dans les feuilles curieuses et attentives qui se frottent aux vitres
et constatent peut-être amères peut-être que nous rions » page 23
Merci France Breton pour Y penser sans cesse de Marie NDiaye.
Et merci toutes et tous pour De l’eau, vos PDF, vos lectures, vos commentaires, vos suggestions.
Et merci Amélie pour la photo.
Jérôme
Merci Jérôme pour cette « compilation » !