C’était l’époque où le mot « paratexte » m’était inconnu. J’étais fascinée par ces inscriptions mystérieuses : © ; ISBN ; achevé d’imprimer le – – – par Brodard et Taupin. Ensuite, j’ai voulu être Fantômette et vénéré Georges Chaulet, qui l’avait inventée. Et puis je ne sais pas comment, à douze ans, je me suis retrouvée de l’autre côté et j’ai commencé à écrire, journal intime, bribes de ceci cela, rien de fini mais toujours ce sentiment que c’est ce que je peux faire de plus important.
exactement le carnet – très important, en effet – Merci bien
Merci pour votre commentaire !