carnets, cahiers, tout un paquet de toutes les vies commencées tout reste à faire sur du papier relié spirales, collé, agrafé, toutes tailles, toutes épaisseurs, tous grammages, papier ligné, avec carrés petits ou grands, avec ou sans marge, feuilles blanches surtout pour encre noire, larmes et oubli, carnets à caresser, ouvrir puis fermer pas pleurer
le « pas pleurer » de Lydie Salvayre (et les cimetières de Bernanos) (enfin tout ça) – tu viens aux 40 jours ? Tant mieux !
oui Piero, j’ai bien 40 carnets à (d)écrire 😉
et vous m’avez manqué
très bien rangé tes carnets. même mon ordi est plus bordélique.
on a peine à croire à l’image !
François faut-il croire les images?
mais j’ai compris ton truc, je vais acheter une valise en carton 😉
comment les reconnaître ?
j’admire (par le fait de les reconnaître, mais de les avoir remplis et gardés)
ils ne sont pas tous remplis Brigitte, certains oui, d’autres commencés, un peu comme dans la vidéo de François. Il y en a où ce ne sont que des notes, certains ont toutes leurs pages, d’autres pas, certaines sont numérotées, la plupart non; il y en a qui portent une date mais parfois non.
En soi, chaque carnet pourrait donner lieu à une histoire. Et c’est stimulant avec cette nouvelle idée d’écriture