Le marcheur en quête de la Ville d’O la reconnait de loin. Il lève son bâton de pèlerin lorsqu’il aperçoit les coupoles, les tours, les minarets, les châteaux d’eau. Il avance encore et les passerelles, les ponts se précisent. Au-dessus des 4 fleuves que traversent la ville enchevêtrés au-dessus des 1000 Canaux, des réseaux de passages, escaliers, pontils. Des toits, coulent des cascades sur les façades, l’eau arrive sur les 160 fontaines des places cernées de rigoles. Non loin les Thermes où les habitants viennent prendre les Eaux chaque année à l’Équinoxe. Certains quartiers fêtent l’Eau Idéale rêvée par le Gouverneur. La Ville d’O un jour engloutie par un orage, une inondation ou bien par la mer ?
il y a un côté «Villes invisibles» d’Italo Calvino !
Oui, j’ai relu un petit passage avant de l’écrire. – (A la façon de)
Venise, Istanbul, le Roi et l’Oiseau de Paul Grimault…
Le rêve à portée de main et un côté Gilbert Lascaux
merci pour vos commentaires, çela m’ a permis de regarder ces auteurs!!
Je viens de lire (p)eau d’Aurélien ..j’ai me bien l’idée d’une seconde (p)..eau qui colle à la peau, l’idée de nage sans fin à grande brassée, de l’eau comme soi (e) même
mais je ne trouve pas Louise!