J’attendais ce jour avec impatience,
Reveil à six heures,
Tout ca me rappel mon enfance,
Avec une journée remplie de bonheur.
Garré devant un magasin de pêche,
Il va acheter les appats,
Deux à trois boites d’esques,
Et pour moi un pain au chocolat.
Arrivé à notre destination,
On deploi le matériel,
Les cannes, les plombs et les hamecons,
Devant le levé du soleil.
Les premières lignes sont lancées,
C’est lui qui ouvre le bal,
La compétition avait commencée,
Qui sera le meilleur pecheur au final ?
Après diverses prises,
La chaleur s’installe,
Un bruit sonne ma surprise,
Celui d’une bière qui me remonte le morale.
A la suite d’une collation,
Il part le ventre à l’air,
En direction d’un petit roupillon,
La naissance du « Viel homme et la mer ».
La boite de vers vide,
L’après-midi passée rapidemment,
Les vagues deviennent rapides,
Nous rangeons notre équipement.
Finalement nous partons à la fraiche,
Pleins de brulures et de girelles,
Annoncant la fin de cette journée de pêche
Passée avec mon paternel
« Les premières lignes sont lancées,
C’est lui qui ouvre le bal,
La compétition avait commencée » …
Par malheur, les voilà à nouveau
Promptement, j’alerte mes confrères
De séparer le banc et de nager dans le chaos
Pour empêcher notre espèce de sombrer en enfer
Je leur avais dit, à tous les poissons : – Venez voir mon aquarium. Et moi je te le dis, ils n’en revenaient pas. Ah mais, ah mais, ils disaient ! Nous les poissons, désormais, on avait le marchand de pêche, dans notre aquarium. Et qu’il se les garde, ces esques, on en ferait bien d’autres, des ripailles!