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Le chien – l’odorat – la piste
Dès le début des années 1960, Shomei Tomatsu cherche à bousculer les dogmes de la photographie documentaire et de la photographie de rue. Il expérimente des cadrages inattendus et des perspectives audacieuses pour produire des images qui, bien que crées à partir du réel, frôlent l’abstraction. Il pose son regard sur l’asphalte des rues : jonchant le sol, des détritus et des fragments de pièces métalliques broyées et incrustées dans le bitume, émettent une faible lumière et son éparpillés comme de la poussière d’étoile. « Ils ressemblaient à des galaxies » écrit Tomatsu. Pour lui, l’asphalte s’apparente à la peau de la ville, couverte de cicatrices qu’il transfigure en autant de traces énigmatiques fascinantes. « C’est en adoptant un regard de chien errant que ces petits détails – dont je n’avais pas vraiment conscience- me sont devenus tout à fait familiers. Dans la série « On the road » il s’intéresse en particulier aux objets abandonnés sur la chaussée tandis qu’avec « Ruinous Garden », il pousse plus loin l’abstraction et réalise de mystérieuses compositions en couleur à partir de fragment de la nature.
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Lorsque le chien perçoit une odeur, il la renifle en effectuant plusieurs inspirations et expirations rapprochées. Cette technique lui permet d’opérer un contact plus important entre les molécules odorantes et la muqueuse olfactive. Ces molécules perçues sont absorbées par les cellules qui constituent l’épithélium olfactif ; elles sont ensuite envoyées vers les neurones qui interprètent l’odeur et transmettent un message au cerveau du chien. L’animal est ainsi en capacité de comprendre ce qui l’entoure ou encore de suivre une piste, qu’elle soit récente, éloignée géographiquement ou vieille de plusieurs jours.
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L’olfaction ou l’odorat est le sens qui permet d’analyser les substances chimiques volatiles (odeurs) présentes dans l’air. L’olfaction est un sens vital pour de nombreuses espèces1 ; il est par exemple utile ou nécessaire pour les activités de recherche alimentaire (chasse, recherche de végétaux appétents, etc), l’évitement des prédateurs, la localisation du lieu de nidification, ponte, reproduction, mise bas, etc., pour la reconnaissance et le marquage du territoire, pour la communication entre individus par messages olfactifs, pour la recherche de partenaires sexuels, et pour la pollinisation des fleurs, etc. Ce sens est moins utilisé chez l’être humain que chez de nombreux mammifères pour lesquels il est prépondérant, néanmoins, l’odeur personnelle semble encore jouer un ou plusieurs rôles chez l’humain en termes de communication non verbale2, à plusieurs âges de la vie, avec des nuances notamment selon le sexe (Homme/Femme)3, selon l’âge ou selon les contextes socio-culturels. L’olfactique est la science du langage des odeurs et de leur rôle dans cette communication non verbale6.
Les docks – La jetée – La place
Un dock est un anglicisme pour désigner l’endroit d’un port où s’opèrent les échanges de marchandises. Il désigne à la fois les bassins, les quais, les installations et les hangars1. Le terme est souvent employé au pluriel, « les docks », notamment dans le sens de « quartier »1.
La personne y travaillant est appelé docker.
Un dock flottant est une cale sèche flottante.
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La Jetée est un film français de science-fiction de Chris Marker, sorti en 1962 et d’une durée de 28 minutes. Ce film expérimental, considéré comme un chef-d’œuvre par nombre de critiques et de réalisateurs, est en fait un « photo-roman » selon le générique, c’est-à-dire un diaporama de photographies en noir et blanc (à l’exception d’un seul plan filmé), commenté par un narrateur unique, et accompagné d’une bande-son réalisée par Trevor Duncan. Cela donne à ce récit très singulier un fort contenu poétique et sert à représenter une face de la « réalité » : les souvenirs que l’on a d’un moment de sa vie sont partiels, tronqués et lorsqu’on regarde un album photos, les souvenirs viennent dans le désordre avec de nombreux « sauts dans le temps ».
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Dans de nombreuses villes du Nord – Pas-de-Calais, on trouve des Grand’Places, lieux de rendez-vous par excellence
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Lexicalisation de place et grand qui en moyen français faisait, au masculin, grant (et se prononçait tel, prononciation qui nous est restée dans la liaison devant une voyelle → voir grand-oncle) et, au féminin, grand (et se prononçait comme le grande actuel, la graphie nous est restée dans des expressions figées comme grand-mère, grand-messe, etc.)
Bois de pin – peinture – poussière
Type de tablette | Noueux |
Matière principale | Bois massif |
Finition du produit | Brut |
Dimension (en cm) | L.200 x l.40 cm |
Epaisseur (en mm) | 18 |
Poids du produit nu (en kg) | 6.616 |
Forme du chant | Droit |
Type de vente | A la pièce ou à la découpe (trait de scie) |
Qualité du bois | Lamellé collé |
Fabrication française | Non |
Fabrication « Union Européenne » | Non |
Pays de fabrication | Espagne |
Garantie constructeur (en années) | 2 |
Produit emballé : hauteur (en cm) | 200 |
Produit emballé : largeur (en cm) | 40 |
Produit emballé : profondeur (en cm) | 1.8 |
Produit emballé : poids (en kg) | 6.616 |
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Laque intérieure pour porte, boiseries, fenêtre. Résistance renforcée aux chocs et tâches. Finition parfaite et lisse. Pour pièces à vivre (séjour, salon, chambre, bureau, dressing). Blanc aspect satin. Lessivable. Application aux pinceau – rouleau et mini rouleau laqueur. Nettoyage à l’eau.
Classe COV A+. Rendement 10 m²
La phantosmie : est la perception par le patient d’une odeur qui n’existe pas.
codicille : la question de la documentation ne s’était jamais posée avant pour moi dans l’écriture, j’ai un peu bataillé pour savoir comment m’en sortir avec cette proposition et puis finalement, j’ai laissé faire la magie d’internet (incroyable la diversité de choses sur lesquelles on peu tomber à partir d’un même mot tapé dans le moteur de recherche) et me suis amusée avec du copier/coller.