D’Edgar Allan Poe, Histoires extraordinaires. L’esprit aime la logique, sait résoudre les histoires les plus étranges pour peu qu’il s’entraîne et analyse le fil ténu des pensées.
D’Agatha Christie, Le cheval à bascule. Les greniers regorgent de trésors, pour peu qu’on sache lire avec attention les lettres soulignées dans un livre : alors l’énigme commence et nous tient au corps.
De René Barjavel, La nuit des temps. La douceur du passé ne peut se rejouer avec les mêmes personnages plusieurs siècles plus tard, on ne peut que toucher du doigt ce qui est resté à travers les âges : les sentiments.
D’Alain Damasio, Les furtifs. De la musique des mots naît l’identité, la révolte, l’harmonie et la force de se retrouver.
De Loïc Demey, Je, d’un accident ou d’amour. Il l’amour, il la reviviscence, il la mémoire, il de nouveau parce qu’il renaissance avec elle.
D’Isabel Allende, La cité des dieux sauvages. Même les aventurières intrépides ont parfois des enfants et des petits-enfants : elle ne fait pas de gâteaux mais amène son petit-fils aux gens de la brume pour savoir tout surmonter.
D’Italo Calvino, Si une nuit d’hiver un voyageur. Lire au-delà, dans un commencement perpétuel d’une nouvelle histoire qui est peut-être toujours la même.
De Jean Tardieu, Le professeur Frœppel. Etant donné que l’imaginaire est l’intelligence qui s’amuse, sentez-vous libre de prendre un mot pour un autre ; le professeur le fait bien, lui.
De Joseph Kessel, Le lion. Le roi de la savane est dompté par une petite fille, on ne sait qui est le jouet de l’autre et c’est aussi beau qu’inquiétant.
D’Albert Camus, Les justes. Ne rien céder mais pourtant sacrifier… Qu’est-ce que la justice ? Qu’est-ce que la justesse ?
Envie de retourner lire Edgar Poe et Agatha Christie, et de découvrir Ilsabel Allende. Clin d’oeil au lion de Kessel qui fait partie de ma liste également et que je n’avais pas vu comme ça, et aussi à Italo Calvino, un de mes incontournables.
Rétroliens : Renaissance – Tiers Livre, explorations écriture