D’Enid Blyton, de Oui-oui et la gomme magique, le pouvoir, l’angoisse et la magie, la possibilité d’un espace qui ne soit pas et d’un espace qui soit sans, la possibilité d’un ailleurs l’ailleurs. (Italo Calvino, Fred)
De Robert Musil, de L’homme sans qualité, le point d’interrogation, l’infini et le visage brisé sur la couverture – si j’aperçois le monde à l’intérieur, où est le narrateur? (Franz Kafka, Edgard Alan Poe, Marcel Proust)
De André Dhotel, depuis les Ardennes, Rimbaud ou la Grèce, au loin cet autre part ou cet autrement dit (Hermann Hesse, John Burnside).
De Camus, L’Etranger pour me donner le La (Agota Kristof et, pour l’oreille absolue, Marguerite Duras).
De Haroun et la mer des Histoires de Salman Rushdie, la jouvence (tous les mythes de la terre).
De ma soeur CarsonMcCullers le regard et l’écoute comme mouvements, l’indéfinissable deuil, le partage d’une solitude.
De Gyula Krúdy, la couleur (autre palette possible: Pierre Michon)
De Gilles Deleuze, retrouver ses dimensions, le Pli comme exercice de respiration. (Fernando Pessoa, Enrique Villa-Matas, Jean-Christophe Bailly)
De W.G. Sebald, lecture et fascination, Les Anneaux de Saturne, à la fois source et chambre obscure de l’infralitteraire (Antonio Tabucchi).
De Milène Tournier les portes qui fleurissent et la guérison des aveugles, l’éternité de Tom Bombadil.
Du journal de Spirou, le feu de joie ( Vargas Llosa versus Vargas Llosa, Enrique Villa-Matas)
Ah ! Oui Oui. Il était quelques part dans mon cerveau et il a ressurgi à la lecture de tes lectures. Oui Oui et le parapluie jaune. Je te le conseille.