j’aime-je vis comme mastiquer les idées vertes et incolores de Chomsky quand elles dorment furieusement dans un mille-feuille de langues décomplexées.
j’aime-je vis comme escalader les idées vertes et incolores de Chomsky quand elles dorment furieusement sur des mathématiques de chair et d’os.
j’aime-je vis comme chatouiller les idées vertes et incolores de Chomsky quand elles dorment furieusement sur le canotier d’un cachalot circonflexe.
Tiens j’ai justement découvert cette phrase de Chomsky en écoutant une émission sur France Culture ce midi !
… moi de même en podcast, Jeanne ; quelle jubilation de jouer à désarticuler la langue, cette phrase de Chomsky, D’incolores et vertes idées dorment furieusement m’a instantanément renvoyée aux « Je t’aime comme » de Milène Tournier.
Merci de ce retour.