A propos de Clarence Massiani
J'entre au théâtre dès l'adolescence afin de me donner la parole et dire celle des autres. Je m'aventure au cinéma et à la télévision puis explore l'art de la narration et du collectage de la parole- Depuis 25 ans, je donne corps et voix à tous ces mots à travers des performances, spectacles et écritures littéraires. Publie dans la revue Nectart N°11 en juin 2020 : "l'art de collecter la parole et de rendre visible les invisibles" voir :
Cairn, Nectart et son site
clarencemassiani.com.
vraiment dans la cible que je cherchais… on entend ce qu’on ferait avec (même si de mon côté c’est tout le bruit du monde que je voudrais avaler, âme ou pazame…)
Merci beaucoup François.
je lisais la contribution de Catherine Serre, juste avant la tienne (extra tout autant) et j’ai perçu d’abord « mon tascam c’est ma canne » (ça rimait moins…) (souvent à la ré-écoute, on peut aussi revoir les gestes des interviewé.es – mais le son,il me semble, est plus évocateur que l’image dans ces cas-là – ce sont très souvent aussi les silences qui portent en eux quelque chose qui expliquent…) (je me sers maintenant de mon téléphone pour cet usage – ainsi que pour celui d’appareil photo – je ne téléphone que peu… :°))
Merci Piero, les gestes, les sons, tout est bon…Et oui, les silences qui disent tant. A bientôt.
Un tascam et un zoom c’est la même chose, mais le téléphone peut faire pareil. C’est ce que j’ai compris. Très joli texte ! « Mon tascam, c’est ma canne ».
Cet exercice va nous mettre à niveau question nouvelles technologies et nouveaux objets
Oui Danièle, d’ailleurs j’ai les deux mais je n’arrive toujours pas encore à travailler avec mon zoom et à quitter mon Tascam !
Merci pour votre lecture, bel après midi.
Bonjour Clarence,
j’adore, et enregistrer et réecouter et surtout votre texte qui voltige de voix en voix, l’objet oblige la forme du texte ! et nous, lecteurs lectrices on en profite,
« Une femme sans passé, voilà ce qu’elle veut être »
J’aime beaucoup cette phrase dans votre PDF – Ordonnance des suites – j’ai souvent ressenti cela en arrivant dans différents endroits hors de chez moi pour aller travailler –
Merci à mon tour pour vos textes qui m’ont touchés et cette histoire de femme en Asie que j’ai envie de suivre – De très belles images et des sensations très claires, précises. Une jolie promenade dans ce livre/PDF –
bonne journée.
Merci Clarence pour ce rythme et cette affection qu’on retrouve pour l’autre, comme dans ton pdf… J’aime bien l’idée aussi que ce Tascam est un « il » puis parfois un « elle », peut-être au gré des voix qu’il porte en lui et du cordon ombilical qui lui permet de les retranscrire à plus haute voix en pénétrant chez toi… C’est très évocateur, merci!
Merci bien Géraldine ! Bon weekend.
C’est un vrai vertige – absolu bonheur de la collecte, de la provision de voix… d’autant plus marquantes qu’elles sont inscrites sur la bande enregistreuse… ce qui restera des autres, des proches, de ceux qui attirent par ce fil sonore… garder les petites cassettes, tombeaux des âmes
Merci Françoise pour ce retour. Bonne journée.
J’aime aussi beaucoup ces petites machines extraordinaires qui captent les ondes sonores… merci Clarence pour ce texte qui rend indispensable l’objet… « Posé là. Posé là, pour accueillir, recueillir et éterniser. Posé là, sans rien dire. »
Merci Michael, à bientôt.
Un objet, depuis sa position, comment on le touche, prétexte dont découle tout ou presque à propos d’une pratique, sa description, ce vers quoi on tend, tout ce qu’on entend depuis ce texte, découvre … Merci, Clarence.
Merci Anne.