les Kaiserpanoramas sortes de premiers cinémas pour visions binoculaires où les esprits assis concentrés étaient bercés par les vues variées et la profondeur des images de peu d’écart spatial distanciées avaient permis de voyager d’aller voir ailleurs
manèges visuels troncs d’acier à lunettes encastrées autour desquels étaient disposés les spectateurs les faisaient décoller immobiles de terres où ils étaient nés en sachant que d’autres sollicitations manquaient par exemple l’odeur de soufre ou de sel les surprenantes vibrations énergétiques de certains sols températures sècheresses humidités extrêmes
manèges d’ images séquences de panoramas isolées voire décousues dans le temps l’espace et figées mais néanmoins en mouvement glissant à intervalles réguliers sur des rails cachés adhérentes à des supports de verre interrompues à leur passage devant les spectateurs par des temps creux des clochettes sonores créant émerveillement
manèges d’images circulaires cycliques différentes dans leur sujets pour tous à un moment donné images d’avant secousse narrative cinématographique oui mais entrecoupées de bleu vert marin fluvial ou lagunaire ouvrant sur des
macrocosmes à partir de tensions perceptives vers le microscopique aussi sur des sens à chercher relations à établir entre elles ou bien rien iraient donc en direction de visions plus liquides muettes puis parlantes défilaient insaisissables claires translucides telles d’impossibles questions sur le temps
Bonjour Sandrine, j’aime beaucoup la façon dont le texte syncope le propos à propos de la syncope ! très réussi !
Merci beaucoup Catherine ! Votre commentaire dynamise! D’autant plus que je pense m’embourber un peu en ce moment….A très bientot et évitons la syncope!!!
Surprenants texte et sujet comme sorte de kaléidoscope dans la tête à la lecture. Oui, Catherine a raison. L’effet sequentiel parfaitement rendu. Bravo
Merci beaucoup Anne ! J’aime beaucoup les kaléidoscopes en effet! A bientot!