Carnet individuel | Lecture de la compile #05 ciels du lundi

Bras de Seine au niveau de Maison Lafitte

Ce mardi, j’ai lu l’ensemble de la compile autour de la proposition des « ciels du lundi ».

Il m’a fallu environ 1h30, je me suis dit que j’allais retenir quelques bribes de cette vague, glaner, copier-coller au fur et à mesure, sans réfléchir. J’y reviendrai ensuite, j’irai visiter les pages et les sites internet.

[Je n’arrive plus à accéder aux italiques, je maîtrise mal les guillemets anglais. Je ne parviens pas à changer de police pour rendre la présentation pllus attractive. Mais tant pis, on y va…]

Mot étonnant : les branches dénudées des liquidambars DB

Là où tu es, est-ce qu’il y a des oiseaux qui s’abreuvent à la pluie des étoiles filantes. MM.

retournez nourrir l’économie plutôt que de lire ceci ! JT.

qu’est-ce qu’il reste du ciel les yeux fermés…. Nuit non noire, entre anthracite et ardoise, bleu de minuit et bleu charron marbré d’étain pur Ph L

alors j’ai dit à Maps qu’on devrait tous lever les yeux au ciel au moins une fois pour savoir de quoi on parle, quand on parle du bon vieux temps. CamB.

rien ne menace la contention du ciel en suspens
PV

Si quelques arbres de la cité n’étaient pas là pour le désigner, l’épingler, le retenir, le ciel passerait inaperçu.ChE

les nuages préparaient des cafouillages intenses, irruptions chamailles, parce que les camionneurs avaient décidé de faire grève, tout le périphérique était à l’arrêt, on n’avait jamais été aussi inertes et dans le ciel les nuages préparaient leur fête de grisailles. On les bénissait des yeux. FBr.

Le gris passe de foncé à clair. Sans relief aucun. Lentement. Le soleil ne percera qu’après-midi. Pour enfin dessiner des ombres. SeB.

Certains jours, impossibles à saisir avec le capteur du Nikon qui grille les ciels clairs les bousille en uni crayeux écrasant le monde. JK

mais certainement pas un grand ciel qui nous fera rêver d’éternité comme a dit Baudelaire, encore moins un ciel où laisser s’évaporer nos soucis. CK

au-dessus des nuages… le dieu des lundis au soleil existe vraiment ! GQ.

le ciel couleur éléphant CB

 Les nuages moutonnent et les avions laissent de grandes traînées blanches de kérosène dans ce couloir aérien où ils défilent à un quart d’heure de distance. EV

Savez-vous que les nuages ont un inventeur ? HG

il [nuage] me regarde toujours entre les mots LD

Un gris plutôt monocorde. Un gris monotone. Un réel ciel d’automne. Je ne l’ai pas vu. Mes yeux l’ont croisé sans parvenir à le sentir, ni à le percevoir. CeC

Et ce lundi, donc. Le ciel au réveil : noir avec son halo orangé là-bas aux bordures de la ville GAS

J’ai croisé des citations de Charles Baudelaire et Edgar Poe mais aussi, fortes, des citations d’Eugène Guillevic et Henri Michaux. J’en oublie probablement.

Pour entrer en écho avec la question de HG, où l’on cherche le nom de l’inventeur des nuages, je pense à Luke Howard qui publie sa première classification des nuages en 1803. L’Atlas International des Nuages est publié en 1896 par l’Organisation météorologique internationale.

Tiens un nouvel atlas dans mes notes, après l’ARN (Atlas des Régions Naturelles).

A propos de Nolwenn Euzen

blog le carnet des ateliers amatrice de randonnée (pédestre et cycliste) et d'écriture, j'ai proposé des séjours d'écriture croisant la marche et l'écriture, et des ateliers deux livres papiers et un au format numérique "Babel tango", Editions Tarmac "Cours ton calibre", Editions Qazaq "Présente", Editions L'idée bleue revues La moitié du Fourbi, Sarrasine, A la dérive, Contre-allée, Neige d'août, Dans la lune...